16 novembre, 2022

Les véhicules électriques seraient l’avenir incontournable de l’automobile

Les véhicules électriques sont l’avenir de l’automobile selon les élites brillantes qui nous gouvernent. Il faut inciter les « gens » à acquérir ces véhicules, car dès 2035 tous les véhicules  émetteurs de CO2 moteurs diesel et à essence neufs ainsi que les modèles hybrides seront interdits. L’onde de choc sociale sera terrible pour les équipementiers automobiles  et tous les professionnels de l’automobile comme les garagistes.

Il faudrait rapidement renforcer l’enseignement des mathématiques à l’ENA pour leur donner le niveau d’un titulaire du Certificat d’études des années

  1. A cette époque on était capable de résoudre un simple problème de robinets. Aujourd’hui ce n’est apparemment plus le cas :

Un véhicule électrique a actuellement une autonomie moyenne de 330 km contre 550 à 600 km pour un véhicule thermique. Pour aller à Bordeaux qui est à 583 km de Paris par l’autoroute A10, il faut donc recharger ses batteries entre le 300eme et le 500eme km. Dans cette zone, il y a actuellement 5 stations pouvant accueillir des bornes de recharge.

Le flux des véhicules d’une journée de grand départ est de 80.000 sur 24 h en juillet ou août, soit 3333 véhicules par heure. Le temps d’une recharge d’un véhicule est à minima de 30mn. Les 3333 véhicules arrivant devront donc bénéficier de 1667 bornes soit 333 bornes par station dans la zone. Toutes en état de marche, avec des chauffeurs se répartissant de manière harmonieuse devant les bornes et d’une discipline exemplaire pour éviter les délais entre chacun. En réalité vus ces aléas, il faudrait au moins le double voire le triple de bornes disponibles. Soit entre 700 et 1000 par station ! Le gouvernement s’était fixé un objectif de 100 000 bornes en 2021, nous en sommes à 70 000 en cette fin d’année ! Les brillants politiques qui sont en charge de ces sujets ne savent donc pas compter.

On ne parle pas des pylônes électriques pour acheminer l’électricité, ni de la centrale nucléaire au bout du câble puisque les énergies alternatives dépendent de l’ensoleillement et du vent.

Les batteries sont pour le moment essentiellement composées de lithium, de cobalt et de terres rares. C’est la République Démocratique du Congo qui dispose de la majorité des réserves mondiales de cobalt qui appartiennent à la Chine. Pour exploiter ce minerai il est demandé à des enfants payés un dollar par jour de faire ce travail indigne. On n’entend pas beaucoup les défenseurs des droits de l’homme.  Pour le lithium l’essentiel des réserves se trouve en Amérique du Sud entre la Bolivie, l’Argentine et le Chili. Pour extraire une tonne de lithium il faut évaporer un million de litres d’eau. On n’entend pas beaucoup les écologistes sur ce sujet, eux qui nous expliquent que nous allons manquer d’eau. Quant aux terres rares elles sont aussi exploitées par les chinois.

Pendant ce temps l’Union Européenne acte la fin des véhicules thermiques. Frans Thimermans vice-président de la Commission Européenne a dit « Les consommateurs sont impatients d’adopter la mobilité zéro émission ». On les comprend Les voitures électriques coûtent 50% plus cher que les voitures thermiques. Une Renault Zoé vaut 32 000€ alors que l’équivalent Clio à essence revient à 17 000€.

Dans le cadre du plan automobile électrique en France, des aides ont permis d’acheter des voitures plus propres: 7000€ maximum pour une voiture électrique. Seuls les ménages déclarant moins de 18 000 euros fiscal de référence pouvaient bénéficier du maximum d’aide. Si la voiture coûtait plus de 45 000€ le bonus était divisé par deux. C’est idiot car cette démagogie exclut 20 à 25% des ménages du dispositif et empêche de faire bénéficier du bonus entier les modèles les plus chers comme la Peugeot 3008 Hybride produite à Sochaux et la Citroën DS7 Crossback produite à Mulhouse. Résultat plus d’aide pour les voitures produites hors de France. Encore bravo. Les allemands ont fait plus simple, ils ont baissé la TVA, ce qui fait une ristourne pour tout le monde….

La France disposait d’une électricité fiable, abondante et peu chère et vingt ans d’avance dans la recherche fondamentale et appliquée. L’ignorance l’a disputé au militantisme… L’idéologie antinucléaire s’est rapidement trouvée des alliés avec les promoteurs des énergies renouvelables…Emmanuel Macron a poursuivi le programme énergétique de François Hollande en fermant la centrale de Fessenheim pour changer ensuite d’avis sur le nucléaire…

La question du réchauffement climatique a quitté depuis longtemps les sphères scientifiques pour se transformer en une idéologie au service de la gouvernance globale, le climatisme. On assiste à la triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux et inutile des énergies renouvelables. Malgré une augmentation spectaculaire des émissions de gaz à effet de serre, les températures mondiales ont en fait diminué de 1940 à 1970. De plus, les modèles que nous utilisons pour prédire l’avenir du climat sont profondément défectueux

Après avoir abandonné la quasi-totalité des filières de production des énergies alternatives à la Chine, l’Europe est en train de se jeter dans les bras des chinois pour la voiture électrique. Le dernier salon « Mondial de l’automobile » a bien montré que les chinois voulaient envahir l’Europe avec des véhicules électriques beaucoup moins chers que les modèles européens.

Auteur: Jean-Jacques Netter

Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de le bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’ absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.

24 Commentaires

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  • URIEL

    26 décembre 2022

    le climat change, nous observons de plus en plus souvent des phénomènes climatiques forts et fréquents. Il est probable qu’il y a là une influence partagée entre l’évolution naturelle de notre ère et l’activité de l’homme. Une seule certitude: le choix politique est fondé sur bien d’autres considérations que faire du bien à la planète, les quelques erreurs de calculs et autres illogismes et altermoiments en sont des indices flagrants.

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    • Dr. S.

      25 janvier 2023

      Les particules et gaz polluants sont un vrai problème… le conte de fées de l’effet de serre en revanche, c’est une totale arnaque destinée à nous vendre de la viande de synthèse et des gadgets électriques hautement inflammables… mais nous serons bientôt fixés…

  • Gaspard des montagnes

    23 novembre 2022

    « De plus, les modèles que nous utilisons pour prédire l’avenir du climat sont profondément défectueux »
    Affirmation gratuite qui demanderait à être étayée !
    En fait les premiers modèles (années 90) donnaient déjà des prévisions correctes pour les années 2020. Les derniers modèles prenant en compte beaucoup plus de variables et de données et disposant d’une puissance de calcul infiniment supérieure sont surtout précis sur des territoires plus petits. A noter que les modèles different principalement par le poids donné à chaque variable.
    L’un des moyens de vérifier la pertinence des modèles est de les faire tourner « à l’envers » afin de recalculer le passé dont on connait les données météos (ex :avec un point zéro en 2020, on recalcule les données climatique de l’an 2000 ou même de 1950 !

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    • Agamemnon

      24 novembre 2022

      Oui les modèles sont défectueux. Leur valeur prédictive est nulle et le peu de crédits qu’on pouvait leur accorder s’est effondrée quand les températures mesurées ont commencé à drastiquement diverger des modèles les moins pessimistes. Si ça n’avait pas été pour le super El Niño de 2015 on en parlerait plus.
      Ce n’est pas parce que ces modèles ont une certaine capacité à reproduire des températures historiques qu’il reflètent la réalité, bien au contraire; il y a une infinité de solutions possibles qui vous donneront des profils de températures identiques. C’est ce qui se passe quand on essaye de modéliser des phénomènes chaotiques non linéaires.
      Le GIEC a ignoré et ignore encore des phénomènes naturels de variabilité interne climatiques qui ont été découverts dans les années 90 comme AMO ou la PDO et qui ont une influence capitale sur le climat.
      A noter que tous les phénomènes observables prédits par la théorie du réchauffement climatique anthropique n’ont jamais été observés. On en a un exemple flagrant avec les ponts chauds troposphèriques.

    • Gaspard des montagnes

      25 novembre 2022

      Concernant les prévisions : en 1990 le GIEC donnait + 1° en 2025, nous y sommes déjà en 2022 : https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/rechauffement-climatique-retour-sur-30-ans-de-predictions-du-giec_2656400.html
      Autre prez intéressante : compléments à la connaissance des modèles climatiques : Un article de JM Jancovici qui permettra de se faire une idée étayée : https://jancovici.com/changement-climatique/predire-lavenir/quest-ce-quun-modele-climatique-quels-sont-leurs-premieres-conclusions/
      Concernant El Nino, il s’agit de variations cycliques de quelques années, elles ne changent rien à la hausse multidécennale… C’est d’ailleurs la méthode des climato-sceptiques : trouver une anomalie sur une courte durée ou un point particulier géographique ou méthodologique qui peut jeter le trouble pour un public non expert : c’est facile car la mémoire climatique des populations est très courte : qui se souvient du climat de l’été 2021 ? (pas l’été 2022 !)
      Ensuite il faut savoir que les climatosceptiques sont financés par plusieurs lobbys qui ont intérêts a ce que rien ne change : pétroliers, banques, gros consommateurs d’énergies, etc… Diminuer les émissions de CO2, c’est s’attaquer à la croissance énergétique telle que nous la connaissons depuis 1945. J’invite les lecteurs à regarder l’interview de Dennis Meadows, le coauteur du rapport Meadows de 1972 : les limites de la croissance : https://www.youtube.com/watch?v=E4mbPYpNo2o

    • Dr. S.

      25 janvier 2023

      Ils utilisent une simple corrélation entre une courbe d’évolution du CO2 et celle de la température. Il n’y a pas la moindre réflexion sur la physique véritable de l’effet de serre : le rayonnement thermique. Le CO2 a très, très bon dos, croyez moi.

  • Patrice Pimoulle

    21 novembre 2022

    J’ai entendu hier que la pollution liee aux particules vinet en realite de l’usure des pneus…

    Répondre
  • Robert

    21 novembre 2022

    Nous vivons en direct un véritable suicide de l’ UE, et ce dans moult domaines dont celui de la locomotion.
    En ce qui concerne nos déplacements, l’ objectif (non avoué) est de les restreindre : véhicules électriques (si possible loués) pour les petits déplacements, et transports en commun (le train) pour les plus longs trajets.
    Quid de l’avion et des poids-lourds ?…
    Quoi qu’il en soit, je crois que les Chinois ont déjà gagné !

    Répondre
  • Soufiane

    21 novembre 2022

    Bonjour,

    « Malgré une augmentation spectaculaire des émissions de gaz à effet de serre, les températures mondiales ont en fait diminué de 1940 à 1970 »

    Pouvez-vous citer vos sources ? Tout ce que je peux trouver sur internet indique le contraire.

    Merci

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    • Aurélien

      22 novembre 2022

      Bonjour Soufiane,
      Je te propose de taper dans ton moteur de recherche : « température moyenne sur terre 20eme siècle » et d’afficher les images, tu trouveras plusieurs graphiques qui le montre.
      Fait étonnant et jamais cité non plus, de 1910 à 1940, la température moyenne sur terre a augmentée de 0,6°C soit autant que de 1975 à 2005. Sauf que de 1910 à 1940 les émissions de Co2 était négligeable par rapport à aujourd’hui. Cherchez l’erreur ….

    • Gaspard des montagnes

      23 novembre 2022

      @Soufiane :
      C’est limité (-0.1 à -0.2°) et c’est visible ici :
      https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/edition-numerique/chiffres-cles-du-climat/1-observations-du-changement-climatique
      C’est associé à une baisse de l’activité solaire sur la période, je m’interroge aussi sur les effets de la 2e guerre mondiale : accroissement des rejets liés aux combats puis assainissement progressif de l’atmosphère ; car on voit bien l’augmentation rapide au début des années 40.

  • Stefano

    20 novembre 2022

    La voiture électrique sera dans quelques années un gigantesque fiasco, mais comme pour tous les scandales à répétition (sang contaminé, amiante, covid, etc ) il n’y aura bien entendu aucun responsable.
    Comme pour le nucléaire, saboté depuis 20 ans avec les résultats que l’on constate, on mettra une croix sur l’industrie automobile française, un fleuron industriel il ya encore quelques dizaines d’années

    Ce nouveau sabotage s’ajoutera à celui de l’immobilier, détruit systématiquement à coups de règlementations stupides et de fiscalité confiscatoire

    Répondre
  • Agamemnon

    20 novembre 2022

    Le problème actuel des véhicules électriques est la densité d’énergie contenue dans 1 kg de matière (i.e., essence et batterie lithium-ion). Les meilleures batteries ont une densité d’énergie inférieure d’un facteur 10 comparée à une masse équivalente d’essence. Ça veut dire en substance que le tout électrique, vous oubliez pour le moment et particulièrement dans le fret routier. Mais peut-être que nos élites ont comme idée de se réserver ces véhicules et de laisser les gueux se déplacer à pieds ou à vélo.
    La technologie des batteries va certainement évoluer pour atteindre les niveaux requis pour être applicables à grande échelle. A côté du problème de la quantité de matériaux nécessaire, il se trouve que le plus gros problème du tout électrique est la distribution (bien plus que la production). Et que ça pour le moment, on sait pas faire.

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    • breizh

      20 novembre 2022

      pour l’instant, on ne voit pas la rupture technologique sur les batteries.

    • Aurélien

      22 novembre 2022

      « La technologie des batteries va certainement évoluer »
      Ha bon ? et Quand ?

      Pour rappel concernant la technologie Lithium-Ion utilisée actuellement dans les meilleures batteries : la recherche a commencée dans les années 70, le Lithium-Ion est arrivé dans nos téléphones milieu des années 2000, soit 30 ans plus tard.

      La recherche actuelle porte sur des batteries ayant un rapport fois 1,5 par rapport aux batteries actuelles et on l’aura dans nos téléphones d’ici 15 ou 20 ans.

      Donc ne rêvons pas de trop sur des batteries « miraculeuses ».

  • Max REYNAUD

    18 novembre 2022

    La baisse des températures de 1940 à 1970 est assez limitée : -0.1 à -0.2°, elle est associée à une baisse de l’activité solaire.

    Répondre
    • oblabla

      20 novembre 2022

      Et oui, comme la hausse actuelle, appelée pompeusement réchauffement climatique est principalement due à une hausse de l’activité solaire, à l’inclinaison accentuée du globe terrestre sur son axe et pour 2% à une augmentation du carbone dans l’atmosphère.

  • DELOISE

    18 novembre 2022

    Bonjour,
    Il me semble qu’il manque un mot après « certificat d’études des années… » …sûrement soixante ou quarante, à cette époque ils savent compter lire et écrire correctement 🙂

    Pour le reste, et le coup du « tout électrique », il ne faut pas oublier l’effet Joules lors les recharges des véhicules électriques. Sans entrer dans la technique, si tout les conducteurs de l’A10 « tirent » en meme temps, ça crame…Si les bornes sont aussi bien construites que l’état actuel de nos centrales nucléaires, nous avons du souci à nous faire.

    De plus, soit il faudrait a) plus de bornes de recharge sur les routes ; ou b) doubler les câbles électriques ou c) leurs sections suite au fameux effet Joules. Autrement dit, il nous faut du cuivre…beaucoup de cuivre ! Qui dit « cuivre » dit matière première, dit Economie.

    Qu’on m’explique comment fait-on pour cette matière 1ere alors qu’on a sciemment sabordé les liens avec la Russie, laquelle, avec la Chine a intelligemment tissé depuis des années, des partenariats avec l’Afrique dont le sol est gorgé de ce minerai ?! Cf la conférence de Valdaï avec V. Poutine le mois dernier. (on oublie les techniques de supra conduction puisque la France a abandonné la Recherche depuis quarante ans et que les moulins à vent seront suffisant…ils l’ont dit. Mais rassurons nous, « tout va bien » : les prix sont bloqués à la pompe…

    Répondre
  • Roland

    18 novembre 2022

    Avec constance et détermination, nous allons vers l’effondrement…

    Répondre
  • Yves

    17 novembre 2022

    Bonjour
    Il n’y a pas qu’ à l’ ENA qu’il y a des problèmes avec les mathématiques :
    « On les comprend Les voitures électriques coûtent 50% plus cher que les voitures thermiques. Une Renault Zoé vaut 32 000€ alors que l’équivalent Clio à essence revient à 17 000€. »
    Dans votre exemple la Zoé électrique coute pratiquement le double de la Clio thermique (88 %) OU la Clio thermique coute la moitié de la Zoé éclectique (45 %)
    Sinon le reste de l’article est pertinent.
    Merci

    Répondre
    • Mandrillon

      4 avril 2023

      C’est sûr Avec les ristourne de fin d’année la Clio essence coûtera encore moins cher Sophie ce qui fait qu’à la fin ça sera plus de 50 % De plus en moins. Il faut bien lambiner qu’on a rien à dire

  • Patrice Pimoulle

    17 novembre 2022

    Vous oubliez que les « vehicules » electriques sont fabriquees en Chine dans des usines qui fonctionnent au charbon.

    Répondre
  • breizh

    17 novembre 2022

    l’intelligence n’est pas de ce bas monde parmi ceux qui nous gouvernent ou sont sensés nous représenter.
    la question : comment le mur de la réalité va frapper tout cela ?

    Répondre
    • Phil

      31 décembre 2022

      Je dirais plutôt :  » comment serons-nous après avoir frappé le dur mur de la réalité si nous continuons à suivre aveuglément les gens qui nous gouvernent ». Nous avons tous un voisin politicien ; et si nous leur expliquions de vive voix notre ressenti à propos de leur (in)gouvernance? La Belgique n’a jamais eu un meilleur budget que lorsque son gouvernement se cherchait pendant plus de 540 jours. Faites votre calcul camarade

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