Anne Hidalgo, maire de Paris déteste les automobiles et surtout les automobilistes. Elle a beaucoup de mal à comprendre que beaucoup de ceux qui travaillent à Paris aient besoin d’aller voir des clients qui leur permettent de faire vivre leur entreprise afin de payer tous leurs collaborateurs à la fin du mois et beaucoup d’impôts… Elle ne sait pas ce qu’est un client car elle ne connaît que les usagers. Sa guerre contre les voitures serait justifiée par la lutte contre la pollution. Sauf que toutes les décisions qu’elle a prises aboutissent à l’effet inverse. Plus d’embouteillages et moins de diésel ont pour résultat d’augmenter l’émission de CO2. Un tribunal administratif a d’ailleurs pu le constater récemment.
La destruction de l’industrie automobile en Europe est en marche
Les objectifs déterminés par l’UE en matière de CO2 pour les voitures sont en mesure de détruire bientôt la compétitivité de l’industrie automobile européenne. Si les objectifs de réduction de CO2 à -20% et -40% sont maintenus par la Commission et le Parlement,
Le diésel doit disparaître le plus rapidement possible parce que les constructeurs ont triché avec des normes qu’on leur avait imposées. Elles étaient probablement impossibles à respecter. En ce moment, le déclin très rapide du diésel est compensé par l’utilisation de plus d’essence qui produit plus de CO2 ! C’est à dire l’effet inverse de ce qui est recherché par les écologistes. Les objectifs en matière de réduction de CO2 ne pourront pas être atteints en 2030 et surtout pas en 2021.
Nous allons probablement assister à la fin de l’industrie automobile européenne.
Pas de chance, car c’était une de celles qui était encore compétitive sur le plan mondial. Elle permet à l’Allemagne de réaliser plus de 50% de son excédent commercial.
On peut très bien fixer des objectifs ambitieux en matière de CO2, mais il ne faut pas influencer les choix technologiques pour arriver à l’objectif. Ce n’est pas ce qui est fait car en fait la méthode de calcul retenue par la Commission Européenne pour les véhicules revient à choisir uniquement la voiture électrique et ne pas prendre en compte d’autres alternatives en matière de technologie.
Il faudrait prendre en compte les conséquences économiques et sociales des décisions qui ont été prises par les fonctionnaires non élus à Bruxelles. L’industrie automobile est une industrie à cycle long. C’est une des dernières à être une source d’exportations industrielle pour l’Europe. Il faudrait un plan de réduction équilibré qui n’aboutisse pas uniquement à ouvrir nos marchés aux constructeurs chinois de voitures électriques.
Les rachats d’entreprises européennes par la Chine ne font que commencer. Quand on a 4000 Md$ de réserves de change on peut avoir une politique d’expansion internationale. Elle va investir dans l’éducation, la recherche et l’innovation : tout ce qui sera positif pour son image.
La technologie de l’automobile de demain n’a pas encore été choisie
La voiture électrique est un domaine dans lequel les chinois ont l’intention de devenir les numéros un mondiaux de la voiture électrique. On nous explique que la croissance devrait être forte ce que l’on n’a pas encore vu pour le moment, car le grand problème c’est la batterie. Personne n’est en mesure de savoir quelle est la technologie qui va émerger. En ce moment ce sont les batteries Lithium Ion qui sont le plus utilisées. Il y a de nombreuses autres technologies comme les batteries Aluminium-Ion qui peuvent être rechargée en une minute, les batteries Aqua Hybrid Ion (AHI) qui utilisent l’eau et qui sont les moins toxiques du marché. Il faut citer aussi les batteries Iron-Chrome (Fe-Cr), les batteries Plomb-acide, les batteries Lithium- Manganese (LMO)
Les batteries Lithium-cobalt…
La voiture hybride possède un moteur classique utilisant de l’essence et un moteur électrique. C’est un marché qui devrait représenter 5M de véhicules en 2020. Les leaders du marché étant Toyota avec la « Prius » et Nissan avec la « Leaf ».
La voiture à hydrogène est aussi une technologie très intéressante. Toyota a déjà lancé la « Mirai » qui peut faire 500km avec 5kg d’hydrogène. Le prix est encore élevé (autour de 66 000$) et le problème des stations de rechargement pas encore résolu.
La voiture sans chauffeur est aussi la grande inconnue. La technologie de reconnaissance d’images va transformer l’industrie automobile. Les plus optimistes prévoient qu’il y aura 17M de véhicules en circulation en 2022 représentant 20% du parc automobile.
Les politiques ne doivent pas prendre les décisions technologiques à la place des industriels
Madame Hidalgo et les mouvements écologiques n’ont aucune compétence pour identifier quelle sera la technologie gagnante dans le secteur automobile. Les technocrates de Bruxelles non plus. Ils ont déjà brillé dans le secteur de l’énergie où ils ont décidé de libéraliser totalement le marché de l’énergie pour avoir une électricité meilleur marché. Vingt ans après on voit que c’est une chimère que les européens payent au prix fort. Le nucléaire a été démantelé, l’énergie solaire a été subventionnée pour le seul profit des chinois. Il s’est quasiment passé la même chose dans les transports (la première société d’équipent ferroviaire mondiale est aujourd’hui chinoise) ainsi que dans la banque où l’Europe a accepté que ses établissements payent des amendes extraordinaires à l’Etat américain.
La direction de la concurrence qui a empêché de nombreuses fusions intra européennes ou même nationales (Legrand avec Schneider). Elle a empêché la construction de grands groupes qui auraient pu se mesurer avec les sociétés chinoises et américaines
L’Europe est dans une éclipse de l’intelligence
Comme le disait si bien Soljenitsyne : « Vous en Europe vous êtes dans une éclipse de l’intelligence. Vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malade. Vous avez la maladie du vide. Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures. La France a été dépossédée de son destin par des oligarques qui font « des carrières essuie glaces” entre la sphère publique et la sphère privée. Il faut résister à ces Ayatollahs anti automobile qui veulent la mort des constructeurs automobiles uniquement pour des raisons idéologiques.
Auteur: Jean-Jacques Netter
Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de le bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’ absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.
Graffy64
27 avril 2018Madame Hidalgo et l’UE feraient mieux de s’inquiéter de groupe comme Lafarge…pollueur s’il en est et qui nous coûte la peau des fesses du fait que non seulement grâce aux « permis délivrés par l’UE » ce groupe pollue tant qu’il veut mais encaisse en plus 900M d’euros par an en revendant ses excédants de « permis à polluer »…je ne parlerais pas de ses « financements » en Syrie..
dinia
5 avril 2018Je suis d’accord avec votre critique de la politique « écolo » de Bruxelles qui en fin de compte n’aboutira à rien de bon
Mais j’ai quelques contres arguments à proposer à votre démonstration
Les constructeurs automobiles ont un gros pouvoir d’influence, ont ne peut imaginer qu’un pays comme l’Allemagne puisse sacrifier son industrie auto si naïvement pour ne pas dire si bêtement. Les grosses marques européennes se sont déjà préparées.
Beaucoup proposent des Hybrides : BMW, Mercedes, Volvo, Volkswagen… pas seulement les japonais.
Il y a encore beaucoup de pays dans le monde qui sont loin d’interdire le Diesel
Les voitures électriques ne pourront jamais s’imposer sans que le prix de vente ne devienne concurrentiel et que l’infrastructure (bornes de recherge ne soit déployées à grande échelle.
Le Diesel n’est pas encore mort comme vous l’avez dit il produit moins de CO2, mais surtout consomme moins et offre bien d’autres avantage encore. Un utilitaire sera toujours préféré en diesel qu’en essence par exemple
Belle tentative des média pour influencer la perception des gens, c’est en train de marcher mais rien ne prouve qu’à long terme cette stratégie va réellement influencer la décision d’achat. C’est les city ban et la politique fiscale qui vont y contribuer à mon sens.
Brémilts
28 mars 2018« Les technocrates de Bruxelles non plus. Ils ont déjà brillé dans le secteur de l’énergie où ils ont décidé de libéraliser totalement le marché de l’énergie pour avoir une électricité meilleur marché. »
Monsieur Netter, je ne suis pas certain que vous pensiez ce que vous écrivez ici. Il n’y a que la CGT pour regretter la libéralisation comme nous sommes en train d’essayer de la préparer pour le train. L’UE a beaucoup de défauts mais elle essaie à son niveau de réintroduire la concurrence dans des secteurs forts concentrés et pour lesquels on voit parfois certains politiciens proposer de refusioner des groupes, je pense particulièrement aux télécoms. Où en serions-nous si nous avions toujours le monopole de France Télécom ou encore si l’on fusionnait Bouyghes avec un autre acteur du marché comme suggéré il n’y a pas longtemps…
Vive la concurrence, notre pays en manque cruellement.
hoche38
26 mars 2018Que nous avons connu un réchauffement climatique depuis la fin du « petit âge glaciaire » dans les années 1715 est une donnée établie et acceptée par toute la communauté scientifique. Penser qu’elle va continuer à se développer est déjà une hypothèse hasardeuse quand on sait que nous sommes aujourd’hui absolument incapables d’élaborer une science du climat. Bâtir dans ces conditions des modèles prédictifs ne peut donc constituer qu’une supercherie. Figurez vous qu’il n’est même pas certain qu’un quelconque effet de serre joue un rôle significatif sur le climat et que s’il était avéré, il serait presque exclusivement du à la vapeur d’eau qui est vingt fois plus active que le CO2. Les recherches les plus actuelles en climatologie se font dans le domaine de l’étude des échanges thermiques dans la couronne solaire qui ont un effet déjà bien mesuré et qui pourrait être décisif pour notre connaissance du climat. Élaborer un changement radical de toute notre civilisation sur des bases scientifiques aussi faibles que celles qui sont médiatiquement imposées est une pure folie.
Steve
26 mars 2018Bonjour M. Netter
Carlos Tavares a bien exposé les problèmes posés par le tout électrique et les décisions « idéologiques » prises par des fonctionnaires sous influence .
Il est vrai que le CO2 est la nourriture des plantes et que l’acidité des pluies et les microparticules Nox sont bien plus nocives.
Nous ne sommes pas sortis de l’auberge, et la probabilité que nous ne puissions éventuellement en sortir que revêtus de combinaisons HAZMAT croît tristement de jour en jour
Cordialement.
Guillaume_rc
26 mars 2018Très bel article sur l’incompétence totale en matière d’industrie et la perte quasi totale du moindre bon sens chez nos « élites ».
J’y rajouterai que la haine anti-automobile est aussi le reflet d’une haine profonde (et inconsciente) de la liberté individuelle.
Citoyen
26 mars 2018« Anne Hidalgo, maire de Paris déteste les automobiles … »
Oui, mais pas celles avec chauffeur … La preuve : elle en a plusieurs …
JeanBart
26 mars 2018Tout en étant parfaitement d’accord avec l’article, on peut regretter qu’il reprenne une imbécillité scientifique répétée par ces ayatollahs (par malice ou par stupidité ?) ; le CO2 n’est pas un gaz polluant. Il vaut mieux des moteurs produisant plus de CO2 aucun oxyde d’azote.
philippe hanchir
26 mars 2018C’est même la nourriture des plantes…
Mais c’est un gaz désormais banni de nos émissions et fortement taxé donc, aussi con que ça puisse être… A proscrire.
Roger
25 mars 2018Article résumant bien l’incertitude des ruptures technologiques. Les technologies disruptives ne se programment pas, ne se décrètent pas et n’arrivent pas là ou l’on décide qu’elles doivent être.
Difficile à faire comprendre dans le système centralisé français avec des élites formées comme elles le sont et cultivant l’entre soit.
Une remarque toutefois sur le nucléaire :
– c’est le résultat d’un choix étatique; il parait qu’il a apporté l’indépendance énergétique. je crains qu’il est surtout cultivé l’égo des politiques et des ingénieurs des Mines. Pour l’indépendance, la totalité de l’uranium est importé du Niger, Canada, Australie et Kasakhstan.
– c’est un choix économique discutable, les prix sont faux puisque le parc a été financé par l’état français et pas par EDF, et que ce prix ne tient pas compte du coût de démantèlement que personne ne connait vraiment; la centrale de Bennelis (un jouet comparé à Gravelines et Cattenon) a déjà coûté 10 fois plus cher que les prévisions …
– c’est un non sens environnemental puisque c’est la technologie produisant les déchets les plus dangereux pour des milliers d’année. Faute de solution technologique après 50 ans de recherche, on nous propose de les enfouir. Comme disait Hubert Reeves sur le sujet, quand on regarde l’histoire et l’ancienneté de nos démocraties, ça laisse perplexe
– et quand vient un accident qui paie ? … pas les exploitants ils n’en ont pas les moyens, pas les assureurs ils refusent d’assurer le nucléaire (risque incalculable d’après eux). Reste plus que l’état, donc le contribuable !
Si ces remarques sont justes, je ne pense pas qu’on puisse dire que le nucléaire dans sa forme actuelle résulte d’un modèle libéral.
philippe hanchir
26 mars 2018Bonjour.
Selon moi le problème n’est pas dans le choix de la technologie mais dans la centralisation de cette production.
Toujours selon moi, il aurait été plus avantageux de multiplier des petites unités de production, adaptées à leur environnement et aux ressources dont on dispose localement (sans exclure aucune technologie) et de créer un véritable réseau fort semblable à celui qu’était le précurseur d’Internet et imaginé pour être résilient et redondant.
Le nucléaire a ses problèmes, certes mais toutes les technologies ont les leurs et il est idéologique et non logique de considérer les déchets ou les conséquences d’un éventuel accident comme pires soucis que les émissions de suies, de gaz carbonique, rupture d’un barrage, etc…
Donc le problème serait davantage lié à la planification étatique de la production énergétique.
On en revient là au thème de l’article qui met en évidence les conséquences d’une anti-libéralisation de divers secteurs mettant notre industrie à mal. A force de législations instrumentalisant des dogmes d’origine écologique ou socialiste on freine et même on empêche l’aventure entrepreneuriale, l’innovation technologique… Le progrès.
Triste fin pour le sous-continent européen.
sassy2
26 mars 2018il faudrait peut être 200ans de stabilité institutionnelle?
On comprend que le nucléaire est un puissant levier de déstabilisation
sassy2
26 mars 2018Sinon il y a fort à parier que le travail d’elon musk ne soit pas tant la colonisation de mars (90%? marketing) mais je pense aussi par exemple précisément l’expédition des déchets nucléaires.
Jacqueshenry
26 mars 2018Il semble que vous ne soyez pas très bien informé. L’énergie nucléaire est la plus propre et la plus économique qui existe actuellement. La gestion des déchets est un faux problème. dans un réacteur nucléaire il ne se créé pas de radioactivité supplémentaire : il en disparaît au contraire avec production de chaleur. la France était à l’avant-garde avec l’usine NERSA de Creys-Malville pour l’élimination des déchets hautement radioactifs, en particulier les actinides. Cette usine a été fermé sur décision politique regrettable. La solution des déchets est leur vitrification et leur largage dans une fosse océanique profonde, point barre.
On ne viendra à bout des réserves d’uranium dans 2000 ans (si l’humanité existe toujours) avec les surrégénérateurs et il restera encore beaucoup de thorium utilisable avec cette même technologie. Si comme Hulot vous pensez et êtes convaincu que les moulins à vent pourront satisfaire les besoins en énergie des générations à venir vous vous trompez. Quant à la fusion nucléaire, elle ne verra jamais le jour pour d’évidentes raisons technologiques dont les flux intenses de neutrons pour lesquels il n’existera jamais aucun matériau pouvant y résister plus de quelques heures.
sassy2
24 mars 2018J’ai arrêté de parier contre tesla dont la valeur est politique.
Musk ressemble très fortement à Howard Hughues… (comment peut -on considérer qu’une société qui fasse des autos et des fusées géniales, des lances flammes puisse être normale? lol)
(il en de même pour facebook / nsa , mais bon c’est peut être terminé lol, idem amazon idem google = cie de chemin de fer de l’information en monopole totale et qui ne demande qu’à être démantelée)
Et par deux fois E Musk s’est illustré récemment sur les tariffs où il cherché à converser à converser publiquement avec Trump sur twitter, puis lors du retrait de facebook pour ses marques.
Il est vrai qu’il a été l’un des premiers à comprendre qu’il n’y aura pas d’argent ou de faveurs pour tous les barons.
Mais il est le plus utile (je ne dis pas d’acheter)
La chose la drôle est la commande de panneaux 80km/h ce sera peut être la dernière. Sûrement dans 10 ans rien ne s’opposera à ce qu’on puisse rouler à 300km/h sur autoroute et les panneaux ne serviront plus à rien.
Peut être que beaucoup d’usines et de garagistes vont disparaître (fini les embrayages et beaucoup de mécanique…)
Hidalgo, pourtant inspectrice du travail, ne sait pas pour qui elle travaille. Et ce qu’elle aime c’est le tiers monde.
(Le problème de Paris est qu’il n’y a pas de taxe sur la circulation)
sassy2
24 mars 2018blue solution ressemble de plus en plus… au minitel
;-((
il fallait y aller avec les allemands, comme vous le dîtes.
j’ai même peur qu’eux se fassent démonter.
Alexandre
24 mars 2018La voiture électrique est promue et subventionnée dans le seul but de justifier le déploiement communiste des centrales atomiques.
L’écologie n’est qu’un prétexte au déploiement atomique.
Qui est Edouard Philippe ? La prostitué du nucléaire.. corrompue pour cela et devenu 1er Ministre pour cela.
Les autres pays commencent à comprendre que le nucléaire est un périle bien plus grand que la modification climatique et qu’il vaut mieux des centrales électriques au gaz et des véhicules à essence, plutôt que des centrales atomiques et des véhicules électriques..
sassy2
24 mars 2018le soleil fonctionne au nucléaire pas avec des éoliennes
Alexandre
27 mars 2018Le vrai malthusianisme c’est le nucléaire..
Ockham
24 mars 2018Chaque fois que l’état entre dans des domaines privés et qu’il y a-t-il de plus privé que la nécessité d’un porte à porte pour une multitude de déplacement, c’est la catastrophe assurée et accélérée par ces politiques fonctionnaires à vie qui raisonnent en aristocrates toujours sur fond publics!