10 janvier, 2024

La transition écologique va faire l’objet d’un rejet social et politique croissant.

L’Union Européenne a fait de sa politique écologique une machine infernale qui la plonge dans un malthusianisme ruineux. Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution de son PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne.

Aujourd’hui, le PIB de l’UE ne représente plus que 65% du PIB américain contre 91% il y a dix ans. Si on continue à ce rythme là, la transition écologique ne sera pas supportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seraient seront trop négatives.

On a longtemps vendu à l’opinion publique l’illusion d’une transition écologique merveilleuse qui créerait des emplois et des richesses pour tous. Un des problèmes est clairement que les français ne sont pas prêts à sacrifier un peu de leur bien être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises…

L’obscurantisme écolo-bobo-bio: incarne le camp du “bien” avec ses mots vertueux: écologie, environnement, éolienne, lanceur d’alerte, santé et leurs qualificatifs tout aussi positifs: vert, naturel, durable, circulaire, biodynamique, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé. De l’autre il y a le camp du mal: pétrole, charbon, pesticides, OGM, nucléaire, pollution, croissance, climato-sceptiques, et des qualificatifs négatifs: polluant, dangereux, intensif, capitaliste, industriel, cancérigène. Bien évidemment pour le camp du bien, seul le camp du mal est corrompu…

Au nom du réchauffement climatique , les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique. Ils utilisent le principe de précaution pour embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles. On assiste à la résurgence d’une pensée collectiviste dont les résultats ne seront connus que par les générations à venir…

La posture catastrophiste des écologistes idéologistes a trois inconvénients: 1/ elle implique que la partie est d’ores et déjà perdue. 2/ l’urgence qui en découle conduit à ne plus prendre le temps d’analyser l’ensemble des contraintes 3/ La décroissance est la seule perspective proposée. On est dans une guerre idéologique où des forces anticapitalistes profitent de la crise climatique pour renverser le système économique  actuel…

 

La triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux  des énergies renouvelables.

 

Les climato-sceptiques sont exclus du débat public…

Une proposition de loi visant à bannir le climatosepticisme des médias a même été envisagée. L’objectif étant d’interdire dans le débat public toute remise en question des dérèglements climatiques. Tout cela se ferait au nom d’un « consensus scientifique ». Rappelons que dans les régimes à vérité officielle idéocratique les dirigeants qui pratiquent cette posture finissent souvent en gardiens de camp…

Steven Koonin est professeur de physique théorique à Cal’Tech et ancien conseiller scientifique d’Obama passe régulièrement en revue les affirmations péremptoires qui nous sont assénées sur le climat et la planète. Ce sont les politiques et les médias qui contrôlent totalement le récit. C’est pourquoi il recommande de cesser de propager la panique climatique. Il pense que les modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

 

L’alliance écologistes -gauche ne fonctionne plus…Aux Pays Bas le PPV de Geert Wilders a largement battu l’alliance de la gauche et des écologistes et le centre droit. La révolte des néerlandais doit être un avertissement sans frais qui doit être entendu. On assiste à une montée contre une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements à réduire de manière de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

 

Les écologistes ne pratiquent que l’écologie punitive…

 

L’écologie politique est une des armes de la cancel culture. Au nom du climat, elle déconstruit notre histoire et nos paysages. Elle défend un humanisme aux antipodes du terrorisme vert. Les démonstrations de force des activistes du climat révèlent le vrai visage de l’écologie politique autant que la démission presque irrémédiable de toute une société.

Voilà une sélection d’opinions émises par les écologistes les plus influents :

Marc Jancovici a défendu un système de rationnement des billets d’avion. Quatre vols pour aller découvrir le monde quand on est jeune avec les vieux qui partent en train en Corrèze !. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre le changement climatique.

Sandrine Rousseau est un mélange de cynisme et de bêtise. L’élue écologiste propose un terrifiant projet de société avec une idéologie qui veut couper des têtes et museler la liberté d’expression. Sa mesure phare consisterait à interdire immédiatement de louer des passoires thermiques

Greta Thunberg pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation est notre seule voix de salut. Ce totalisme mou teinté d’anti-capitalisme de combat est érigé en système de pensée politique et morale. Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM elle démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Elle est devenue le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Cara New Daggett  pense que la relation entre « masculinité dominante » et « pétroculture » dont découlent structure une hiérarchie de genre, de race, de classe…Les énergies fossiles ont intensifié la violence dit elle !

Le nucléaire français a été démantelé

 

En France l’Etat a peu à peu démissionné sur le nucléaire. Avec la globalisation les dirigeants ont pensé que la géopolitique n’était plus un problème. L’Etat actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. L’Etat régulateur s’est abrité derrière le principe de précaution introduit dans la Constitution par Jacques Chirac pour fuir ses responsabilités. Le résultat c’est une entreprise en faillite avec 60Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise.

L’Amérique est à la poursuite du Graal énergétique. Deux entreprises tentent de percer les mystères de la fusion nucléaire. CFS a levé 2 Md$ pour réaliser la fusion nucléaire. Une installation américaine a réussi à produire plus de chaleur que ce qui avait été injecté par rayonnement…

L’ARENH (Accès Réglementé à l’Electricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25% de sa production (100 TWh) au prix de 42€/MWh. La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Ce mécanisme a largement fait la preuve de son échec. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. C’est ce qu’ont demandé dans une tribune collective du 06/06/ 2023 Henri Proglio, Arnaud Montebourg et Loïk Le Floch Prigent. L’Arenh est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public. EDF après une année 2022 catastrophique avec une production de 229 TWh table sur 300 à 330 en 2023, 350 en 2025. Le record historique est de 420 TWh

L’éolien est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable

 

Si vous cherchez la France périphérique, levez les yeux au ciel. S’il est encombré d’acier et de matériaux composites, vous y êtes. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 24 % de sa puissance. Les déceptions enregistrées par les sociétés les plus exposées au secteur sont nombreuses : Siemens Energy  dans l’éolien en mer a récemment été sauvé par une garantie du gouvernement allemand de 7,5Md€, Orsted le géant danois a baissé de 50% depuis 6 mois, Iberdrola a abandonné son projet d’éolienne au large du Massachussets. Svevind AB avec le fabricant de turbines Enercon sont associés dans un projet au large de la Suède. Il est au bord de la banqueroute

Bétonner la mer est l’idée technocratique la plus anti-écologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes.

La montée en puissance de l’énergie éolienne terrestre supposée écologiquement correcte, s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples: défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’image verte de l’éolien on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia…. Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45% du marché de l’éolien dans le monde !

Le Photovoltaïque est contrôlé par la Chine

Le solaire est le grand gagnant de la transition énergétique partout sauf en France …

Pourtant Il aurait été beaucoup plus efficace d’inciter l’Allemagne à sortir plus vite du charbon qui constitue encore 45% de son mix énergétique.

La Chine possède 72% de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35% à ceux de l’Europe et de 20% à ceux des Etats Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montre la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens

Les énergies fossiles ont toujours de l’avenir…

Le monde est encore avide de pétrole

La France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale. Les dernières opérations réalisées dans le secteur du pétrole sont claires. Exxon a racheté Pioneer Natural Reserves pour 59,5Md$. Chevron a racheté Hess pour 53Md$

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes

Là encore l’intérêt ne faiblit pas. Glencore a mis la main sur Teck au Canada dans le charbon

La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Il faudra qu’un jour les écologistes du camp du bien comprennent que le raccordement de 100MW d’éolien ou de solaire ne permet selon  JP Morgan de débrancher que 10 à 30MW de thermique…

Auteur: Jean-Jacques Netter

Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de le bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’ absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.

24 Commentaires

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  • Frédéric Gubser

    7 février 2024

    Cet article me paraît une synthèse très complète de la question.
    Une seule remarque de forme: P.Muray a écrit « L’Empire du Bien » et non « L »Empire du bien ». La majuscule importe. Il s’agit du Bien en tant que concept ou notion, et non pas de n’importe quel bien (marchand de biens, bien de consommation, bien-être, je vais bien, etc.). Car on parle ici de l’idée du Bien, même de l’idéologie du Bien, du camp qu’elle finit par composer et qui est désormais devenu oppressif. Pardon pour cette remarque un peu pion mais la correction de la langue reste, à beaucoup d’égards, garante de celle de l’esprit.

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  • Alain BERNOS

    22 janvier 2024

    Bonjour et merci à Mr Netter, voila une page bien rédigée avec une argumentation bien étayée.
    Le mécanisme psychologique de la bien pensance est bien démontré. Pour le « bien » et au nom du bien,
    nous n’avons pas fini de prendre des claques….La seule chose qui pourra nous sauver , c’est la science.

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  • HANLET

    21 janvier 2024

    Une centrale nucléaire occupe environ 18 km2. Un parc éolien qui produirait autant nécessiterait 1.000 km2.

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  • Explorer76

    15 janvier 2024

    Le Co2 n(est pas la cause du réchauffement et ne peut pas l’être de part ses propriétés d’absorption du rayonnement infra-rouge. La théorie de l’effet de serre du CO2 est une escroquerie scientifique démontrée ici : https://www.science-climat-energie.be/wp-content/uploads/2023/07/CHAP3_SUP.pdf.
    Ce que ne dit pas l’article, c’est que toute nouvelle capacité « renouvelable » doit être doublée par une capacité fossile ou nucléaire pour pallier les variation de vent ou d’insolation avec l’inconvénient de déstabiliser gravement le réseau. Le 100% et même 50 % renouvelale est une utopie impossible car à tout moment ma production électrique doit égaler la consommation électrique. Au final la transition écologique se révèle petre une arme de destruction massive des économies développées.

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  • Piccaria

    15 janvier 2024

    Depuis un siècle des philosophies cherchent à abattre le libéralisme et le démocratie dont Tocqueville disait qu’elle pouvait sombrer dans l’anarchie ou dans le despotisme.
    En Europe ,il y a eu le communisme, puis le Club de Rome qui professait que la décroissance était inéluctable par manque de matières premières et, aujourd’hui, l’écologie punitive qui prône la décroissance non par manque de ressources mais pour sauver la planète. Deux argumentations contradictoires mais la même conclusion !
    Inspirée de Malthus, cette dernière idéologie devrait être pour la diminution de la population mais elle s’est rapprochée de partis ouvertement intégrationnistes ! Nouvelle contradiction.

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  • Dominique

    14 janvier 2024

    On sait tout cela depuis longtemps. Vous vous en êtes aperçu, enfin…

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    • Phil75

      14 janvier 2024

      Effectivement, J.-J. Netter a 10 ans de retard, en est encore aux modèles mathématiques bidons et semble ignorer, pour ne donner qu’un exemple, que les carottages réalisés dans la calotte glaciaire prouvent tous que l’augmentation du CO2 suivent et ne précèdent pas les phases de réchauffement du climat.
      l manque gravement de lucidité quand il écrit dans le même texte “pensée collectiviste dont les résultats ne seront connus que par les générations à venir…“ mais plus haut que le PIB de l’UE ne représente plus que 65% du PIB américain contre 91% il y a dix ans. Etc.etc
      Il serait plus d’actualité, par exemple, de demander pourquoi Macron a fait arrêter le projet Astrid en France qui nous donnait 10 ans d’avance et si succès 1000 ans d’autonomie énergétique, pour, dans la foulée, le donner (ou le …..) à Bill Gates !

  • HUSSON Jean-Claude

    14 janvier 2024

    Je partage tout à fait ces commentaires et analyses. Je suis dépité, depuis le début, de la folie punitive de tous ces groupuscules écologistes punitifs.
    Plus encore de voir à quel point les partis politiques dirigeants notre pays depuis quelques temps, se sont vendus pour quelques voix à ces sectaires, oubliant pourquoi ils étaient élus…
    Pour ce faire ils n’ont pas hésité à piller notre richesse, et nos savoirs faire dans tous les domaines les pus régaliens, dont ceux industriels, y compris énergétique. Une incompétence rare, pouvant dans certains cas s’apparenter à du sabotage.
    Les séances de la commission d’enquête parlementaire, au sujet du saccage de notre filière énergétique nucléaire est consternante, et ne doit pas rester sans suite….

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  • Piccaria

    12 janvier 2024

    Depuis un siècle des philosophies cherchent à abattre le libéralisme et le démocratie dont Tocqueville disait qu’elle pouvait sombrer dans l’anarchie ou dans le despotisme.
    En Europe ,il y a eu le communisme, puis le Club de Rome qui professait que la décroissance était inéluctable par manque de matières premières et, aujourd’hui, l’écologie punitive qui prône la décroissance non par manque de ressources mais pour sauver la planète. Deux argumentations contradictoires mais la même conclusion !
    Inspirée de Malthus, cette dernière idéologie devrait être pour la diminution de la population mais elle s’est rapprochée de partis ouvertement intégrationnistes ! Nouvelle contradiction.
    Plus c’est gros plus ça passe, hélas.

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  • JACQUES L.

    12 janvier 2024

    Article plein de bon sens… ce qui fait cruellement défaut à nos politiciens et à une partie de la population.

    Nonobstant les faits et les chiffres, les gouvernement occidentaux maintiennent coûte que coûtes la marche forcée vers les ENR, qui n’ont pas grand chose de renouvelable quand on fait le bilan de leurs matières premières ! Il se pose alors là deux possibilités : soit nos politiciens sont de plus en plus stupides, incapables d’une vision stratégique étatique sur le long terme. Soit il y a d’énormes intérêts financiers qui emportent tout. On notera que l’un n’empêche pas l’autre !

    Comme nous donnons actuellement les clefs de notre souveraineté énergétique à la Chine, que se passera t il demain ?

    y aura t il un réveil salvateur des populations ?

    https://www.fnac.com/a17655071/Jacques-Laurentie-Climat-de-peur#omnsearchpos=2

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  • essentielliste

    11 janvier 2024

    Oui, la présentation et l’argumentation de JJ Netter restent clairement sans contestation possible
    Elle a pour avantage de donner un aperçu cohérent et global de la problématique avec des références concrètes à la réalité industrielle et politique.

    Dommage que Monsieur Netter qui aime bien rappeler son origine « universitaire » pure et sans conteste, se distinguant de ce qu’il dénomme les dites « grandes écoles » dans un précédent article commette des erreurs de syntaxe ou probablement des omissions de relecture de son texte.
    ex parmi d’autres : « la relation entre masculinité dominante et pétroculture dont découlent structure une hiérarchie de genre….
    C’est pas si grave en soi, mais il y en a d’autres … fautes d’attention.

    Essentielliste

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  • GEORGIO

    11 janvier 2024

    Merci Mr NETTER pour cet article qui résume très bien la situation économique dans laquelle se retrouve l’Europe .

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  • Jepirad

    11 janvier 2024

    Excellent. C’est tout à fait ça ! Et c’est d’autant plus grave pour nous Français car nous sommes les plus vertueux. On va le payer cher et pour les autres (les Allemands notamment). Cdt.

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  • Carla Nussbaumer

    11 janvier 2024

    J’adhère en totalité . L’ écologie est devenue plus qu’un dogme , mais une religion d’Etat , dans un Etat en train d’injecter le totalitarisme en douce , en s’attaquant au principe de la liberté individuelle et de la propriété .

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    • Patrice Pimoulle

      12 janvier 2024

      Absolument; nous sommes gouvernes par des prophetes, en attendant les pretres et le sorcies.

  • Theo31

    11 janvier 2024

    Les écolos ne sont pas anticapitalistes. Ils veulent juste en capter ses bénéfices a leur profit sans jamais travailler pour

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  • garnier

    11 janvier 2024

    Analyse très intéressante et approuvé sauf sur un point fondamental : Contrairement aux dires de l’auteur, le capitalisme appuie à fond cette évolution! voir par exemple les exigences de Black rock et autres gestionnaires de fonds quant à la politique des entreprises dont elle gèrent tout ou partie des actionnaires

    Répondre
  • JEGO Pierre-Yves

    11 janvier 2024

    Il est temps de revenir à une approche rationnelle cartésienne de la productions de l’énergie nucléaire, selon le principe économique simple direct producteur – consommateur / coût amortissement investissement / intérêt général. L’influence outrancière des écologistes alarmistes doit être contestée par les faits climatiques du passé : réchauffements et refroidissements climatiques présence humaine. Et cesser la tyrannie UE sur les nouvelles normes supposées ralentir le réchauffement climatique humain, au détriment des ressources économiques des plus pauvres. A ce titre, le démantèlement du nucléaire français est un scandale politique, et la réparation en cours du parc est un véritable prodige dont il faut louer les ingénieurs EDF. Cependant, le pouvoir de nuisance des politiques pour récupérer des suffrages écologistes reste une menace persistante.

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  • Philippe

    10 janvier 2024

    Priorité : lancer une Class Action Suit pour mettre en examen au titre des atteintes aux interets fondamentaux de la Nation ( art.410 et suivants du code pénal ) ; Jospin Juppé Mme Lepage N.Hulot Sarkozy Hollande Macron et les ministres de l’industrie et de l’écologie qui ont mis à bas la filière nucléaire au motif fallacieux que la consommation d’électricité devrait baisser de 50% avant 2035

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    • Clergeau

      11 janvier 2024

      Tout à fait
      Tout faire pour contrer ces dignes héritiers totalitaires ideologues

    • Robert

      11 janvier 2024

      La casse de la filière nucléaire est un mélange de calcul politique ( les voix écolos) , de vision stratégique myope, de paresse intellectuelle par soumission au politiquement correct.
      C’ est le naufrage de l’ action politique dans sa mission principale : la défense des intérêts fondamentaux du pays.

    • B.Man

      11 janvier 2024

      …Oui. Je suis pour !

    • LYBD

      11 janvier 2024

      L’écologie a perdu ses fondement, sa justification naturelle. Elle est savamment utiliser à des fins politiques par certains.
      D’autres s’énervent comme variable d’ajustement lors des élections.

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