Les investisseurs doutent et, plutôt que de simuler la reprise, la France ferait bien de s’en inquiéter

1 Oct, 2013 Les investisseurs doutent et, plutôt que de simuler la reprise, la France ferait bien de s’en inquiéter
Par Jean-Jacques Netter

Les grands investisseurs mondiaux se sont retrouvés la semaine dernière à Hong Kong dans le cadre d’une réunion organisée par CLSA, société de courtage qui était contrôlée par le Crédit Agricole et qui l’est maintenant par le broker chinois CITIC Securities. Aux Etats-Unis, le Quantitative Easing de Ben Bernanke ( politique monétaire très favorable et quasi taux zéro ) n’a réussi après quatre ans ni à faire remonter l’inflation au...

9 Sep, 2013 Etude des marchès mondiaux Gavekal Research
Par idlibertes

  Vous trouverez ci- joint la premiére partie des fichiers interactifs. Interactive Version – Growth And Markets Monthly (Part 1 of 2)-1

4 Sep, 2013 La reprise mondiale se produit en ordre dispersé
Par Jean-Jacques Netter

Avant l’été de nombreux risques pesaient sur les marchés. On pouvait s’attendre à un atterrissage brutal de l’économie chinoise, à un retour des turbulences monétaires en Europe, à de nouvelles hésitations de la Fed sur sa politique de désengagement des marchés, à des tensions au Moyen Orient. Le ralentissement était mondial sauf  pour le Japon, le Canada et le Royaume Uni. En dehors de la Syrie très récemment, aucune de ces craintes...

30 Juin, 2013 Pragmatisme et Gestion de Portefeuille
Par Charles Gave

Depuis longtemps, trop longtemps  pensent certains, je pratique ce métier passionnant  qui consiste à réfléchir sur la marche du monde, à essayer de comprendre ce qui se passe dans les économies et les nouvelles ou anciennes technologies, à me pencher sur des valorisations qui fluctuent sans arrêt, pour arriver en fin de parcours à un portefeuille dans lequel j’essaie de résumer tout les efforts intellectuels effectués en...

28 Nov, 2012 Effacer la dette grecque? Une solution parmi d’autres
Par Jean-Jacques Netter

L’Europe ne peut pas continuer à financer le déficit public de la Grèce (8% du PIB) et payer le service de sa dette, qui est toujours à 180% du PIB. Le FMI pour pouvoir continuer à prêter a besoin que la solvabilité du pays s’améliore, ce qui est loin d’être le cas. C’est pourquoi il a demandé à la BCE d’effacer une partie de la dette grecque dont elle possède 50 milliards d’euros sur un total de créances de 2.500 milliards...

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