9 octobre, 2013

« L’Euro était une tentative de prise de pouvoir par des technocrates non elus »

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=GeEFTfQVndE&feature=share[/youtube]

Auteur: idlibertes

Profession de foi de IdL: *Je suis libéral, c'est à dire partisan de la liberté individuelle comme valeur fondamentale. *Je ne crois pas que libéralisme soit une une théorie économique mais plutôt une théorie de comment appliquer le Droit au capitalisme pour que ce dernier fonctionne à la satisfaction générale. *Le libéralisme est une théorie philosophique appliquée au Droit, et pas à l'Economie qui vient très loin derrière dans les préoccupations de Constant, Tocqueville , Bastiat, Raymond Aron, Jean-François Revel et bien d'autres; *Le but suprême pour les libéraux que nous incarnons étant que le Droit empêche les gros de faire du mal aux petits,les petits de massacrer les gros mais surtout, l'Etat d'enquiquiner tout le monde.

34 Commentaires

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  • Strauss Patrick

    1 décembre 2013

    Evidemment la création monétaire des USA peut devenir infinie pour combler des trous abyssaux mais notre si cher Greenspan si bien nommé (Ventilateur vert, c’est à dire du billet vert!) semble ignorer que la création de monnaie fictive, non adossée à une création réelle n’est qu’un crime. c’est voler tous possesseurs de cette monnaie puisqu’elle se déprécie mecaniquement dans la proportion du vol .
    Mais dire que les états feront faillite est aussi une erreur puisque les nouveaux emprunts remboursent d’abord les anciens et que la vraie création de dettes n’est que le supplément des besoins que chaque Etat à besoin de couvrir pour ses excès de dépenses mais aussi pour affaiblir au maximum sa monnaie et faciliter ainsi sa concurrence. Me trompe-je ou non?

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    • Bois Anne Marie

      13 octobre 2013

      Incredible but real!!

  • lilou

    13 octobre 2013

    lui aussi smart :
    http://www.forum-monetaire.com/?p=9899

    mais il n’a pas fait son « home work » assez profondément 🙂

    quelques valeurs sont de vraies pépites pour les patients…avant 2020 néanmoins pour des upsides de +500 à + 2000 %

    TML
    DNA : http://www.dalradian.com/files/doc_presentations/Dalradian%20Corporate%20Presentation%20Oct%202013.pdf
    ORV
    LAM

    et des tickets de lotos sur SBR, CFO, PKL et CWV

    http://www.lemonde.fr/education/article/2013/10/09/diplomes-des-grandes-ecoles-la-grande-evasion_3492235_1473685.html

    Canada or Helvetia will accept the good ones forever 🙂 soon

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  • Marius

    12 octobre 2013

    Votre plus belle description de la France :

    « Les religieux ont le pouvoir en France. On est en théocratie. La croyance c’est l’Etat, le clergé ce sont les fonctionnaires, et le peuple c’est le tiers-état qui doit payer tout ça, on est en 1789.”

    Quant a l’euro, vous rejoignez parfaitement Thatcher :

    « l’euro est voué à l’échec, économiquement, politiquement & socialement, même si la date, l’occasion et les conséquences ne sont pas connues »

    « la monnaie unique dévasterait les économies des petits pays. »

    « Une banque centrale européenne, comptable de personne, prendrait le pouvoir de tous les parlements nationaux. Et avoir une seule monnaie, une seule politique monétaire et taux d’intérêt, nous arracherait tout pouvoir politique […] a single currency is about politics of Europe, it’s about Federal Europe by the backdoor. « 

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    • Marius

      13 octobre 2013

      Asselineau est un anti-liberal qui n’a rien compris a l’économie et au rôle de l’Etat. Il n’y a que sa dénonciation de l’euro et de l’UE a saluer (mais même là c’est draper dans un anti-libéralisme anti-anglosaxon désespérant).

  • Libre

    12 octobre 2013

    Je crois que tout cela ne connaitra pas de solutions dans un cadre civilisé d’état de droit…Regarder les années 30 ou la Russie à la chute de l’URSS!

    Répondre
    • Bois Anne Marie

      13 octobre 2013

      Bonjour, peut-être si la Droite était très bien élue en 2017, cela pourrait se résoudre en gouvernant par ordonnances pendant 6 mois,pour défaire les bases issues de 1945 et adopter des mesures en phase avec la mondialisation;Copé est sur cette ligne actuellement. Mais la cocotte minute française aura p.e. explosé avant ….

  • BA

    11 octobre 2013

    Ce qui s’est passé à Chypre a été une expérience qui a été très révélatrice.

    Il y a quelques semaines, les dirigeants politiques ont volé l’argent des épargnants chypriotes : les dirigeants politiques étaient inquiets de savoir quelle allait être la réaction des épargnants.

    Le vol de l’épargne des Chypriotes était un test.

    Or les Chypriotes se sont laissé faire.

    Les Chypriotes se sont laissé voler leur épargne.

    Donc les dirigeants politiques des pays en faillite vont généraliser le vol de l’épargne.

    Et personne ne bougera.

    Ni les épargnants français, ni les autres.

    Quand un pays va devenir hyper-endetté, les dirigeants politiques de ce pays vont voler l’argent des épargnants, car ils ont vu que les épargnants préfèrent se laisser voler leur épargne plutôt que de se défendre contre le voleur.

    Voici la liste des pays qui vont voler les épargnants en 2014 :

    1- Japon : dette publique de 242,3 % du PIB en 2014.

    2- Grèce : dette publique de 174 % du PIB.

    3- Italie : dette publique de 133,1 % du PIB.

    4- Portugal : dette publique de 125,3 % du PIB.

    5- Irlande : dette publique de 121 % du PIB.

    6- Etats-Unis : 107,3 % du PIB.

    7- Espagne : 99,1 % du PIB.

    8- Royaume-Uni : 95,3 % du PIB.

    9- France : 94,8 % du PIB.

    Le FMI ne parle pas de la Belgique. En mars 2013, la dette publique de la Belgique était de 104,5 % du PIB.

    http://www.imf.org/external/pubs/ft/fm/2013/02/pdf/fm1302.pdf

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    • Duff

      12 octobre 2013

      Nombreux sont ceux qui avaient prophétisé que Chypre était une répétition générale avec – comble du cynisme – une expérimentation des taux de spoliation ad hoc. La dernière info sur la proposition scandaleuse du FMI de taxer l’épargne pour ramener l’endettement des pays au niveau de 2007 révèle bien plus qu’une incongruité : La volonté des profiteurs et de nos pseudos élites gouvernantes de retarder encore les réformes structurelles, seules capables de ramener les déficits à 0 voire excédentaires faute de croissance pour désamorcer la bombe de la dette.

      Face à une telle fuite en avant, je ne puis que partager le constat quasi désespéré de Bruno Bertez qui semble ne pas croire à la moindre évolution (révolution?) politique pour gérer cette crise de l’endettement et de la confiance.

      Cdlt

  • Anonyme

    11 octobre 2013

    Une petite question technique et benoite à l’endroit d’une remarque de M. Gave sur les taux d’intérêts :

    D’un côté, M. Gave s’est à plusieurs reprises prononcé contre « l’euthanasie du rentier », c’est à dire, entre autres, la pratique de taux d’intérêts bas (inférieurs à l’inflation ?)
    De l’autre et sur le plateau de N. Doze, il défend l’idée que si la rentabilité est inférieure au taux de l’argent, donc, si je le suis, si les taux sont trop hauts, il n’y aura pas non plus de croissance.

    Comme il ne peut y avoir de contradiction dans sa pensée sur ce point (par trop trivial), une âme charitable pourrait-elle, s’il vous plaît, m’aider à recoller les deux morçeaux ?

    Répondre
    • Amellal Ibrahim

      11 octobre 2013

      Selon lui, si j’ai bien compris, le taux directeur en Italie devrait être plus bas temporairement, dès que la croissance repartirait en Italie, les taux suivraient à la hausse et ainsi de suite, c’est la règle. C’est maintenir les taux bas trop longtemps qui permet des investissements improductifs et génère des bulles …

    • idlibertes

      12 octobre 2013

      Cher Anonyme,

      La réponse est la somme des trois jouers economiques.

      Le rentier, celui qui prête son capital et qui espére en retirer quelque chose.
      l’entrepreneur
      Et l’horrible Shylock, intermediaire financier.

      Les entrepreneurs font génerer des profits (P), le rentier de base lui veut sa rente (R) et il veut que son capital soit garanti.
      Comment le partage de la valeur ajoutée va t il s’effectuer? EN france, en 22 ans, le valeur ajoutée crée par les sociétés du secteur privée a perdu 6% par rapport à l’evolution du PNB e tle chomage est monté de 7 à 10 % d ela population active.Depuis 20 ans, nous assistons ) un transfert des richesses constants de ceux qui prennent des risques vers ceux qui n’en prennent pas.

    • idlibertes

      12 octobre 2013

      Et c’est la même idée, que ce soit taux trop bas ou rentabilité inférieure au cout de l’argent….
      les taux bas amènent fort logiquement à un ralentissement économique et à une très grande fragilisation des économies sous jacentes, créée par un excès de dettes, à une paupérisation du monde du travail et en fin de parcours à une implosion du monde financier qui, lui même, scie avec entrain la branche sur laquelle il est assis, en partant du vieux principe, « qu ‘ après moi le déluge…. »

      Si, en revanche, les taux courts sont maintenus à un niveau proche du taux de croissance des profits, alors l’incitation à l’emprunt financier disparait. Prendre du levier, s’endetter ne paye plus. La Rente a disparu. L’épargne du pays s’investit alors dans les emprunts capitalistiques, le stock de capital augmente et avec lui la productivité, le plein emploi règne et tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.

    • vivelafrance

      12 octobre 2013

      Nous sommes peut être donc rentrer dans une spirale déflationniste : La croissance trop faible, affaiblie par des taux trop élevé depuis trop longtemps, affaiblie par l’euro trop fort, et par des impôts trop élevé en France surtout. Suivie par une baisse des taux de l’argent arrivé trop tardivement en zone euro. Donc euthanasie du rentier épargnant, baisse de productivité, baisse de la consommation et des banques qui ne prêtent plus d’autant plus qu’elles doivent renforcer leur capitaux propres au mauvais moment.
      A force d’avoir trop lutter contre l’inflation en pratiquant des taux trop élevé pour favoriser les rentrées de capitaux le tout afin d’avoir un euro fort, politique cher à notre ami et héros Trichet, nous sommes non seulement rentrer dans une trappe à dette généralisé à travers toute l’Europe et peut être dans une période déflationniste à la japonaise (dépression longue durée similaire en Europe comme l’avait déjà prédit Monsieur Gave depuis plus de 10 ans ou 15 ans me semble t-il).
      Mais peut-on toujours croire à un redressement avec une France qui se réforme et des institutions (union fiscale) qui se mettent en place au sein de la zone euro rapidement afin d’inverser la courbe ? (j’aimerai y croire mais pour cela je me doute bien qu’il faudrait un libéral indépendant qui soit élu en France……c’est pas gagné !!!)

  • CHS

    10 octobre 2013

    M.Gave

    vous avez l’élégance de parler de Theocratie en ce qui concerne l’hexagone,
    recourant à la depense publique comme à l’encens,

    mais ses aspects, ses comportements, ses objectifs absolutistes, pervers, et démagogiques, peuvent aller jusqu’à revêtir les aspects d’une véritable  » secte » permettant de redouter le pire

    d’autant plus que les nervis de l’université, des medias et de la justice, n’exercent majoritairement aucun des contre pouvoirs légitimes

    la gravité de la situation et les risque de son issue sont extrêmes et bien soulignés

    excellente intervention

    Répondre
  • Bruno Bartolotta

    10 octobre 2013

    Superbe emission une des meilleures sur le sujet. J’ai deux points que je souhaite discuter.

    – je suis d’accord avec le point de vue de christian saint etienne sur la question d’une gouvernance economique c’est a dire d’un budget euro. Toutefois je ne partage pas son optimisme. Avec quelle ressources allons nous financer ce budget. Vu la situation je me questionne sur la taille de ce budget … Et surtout comment le financer. Nous avons tres largement depasse le maximum fiscal acceptable …

    – sur la question des fonctionnaires remarquable de faire surgir ce sujet mais attention avecl’exemple americain. Ils ont les avocats qui sont leur version de la technocratie et leur pillage ne s’exerce pas a l’interieur du budget de l’etat mais il est de meme proportion. J’ai lu une etude de duke (je crois) qui disait que cetteprofession coutait au pays pres de deux points de PIB,… Tous les hommes politques americains sont avocats.

    Je pense qu’il faut aller plus loin dans la reforme du pouvoir. Il faut revoir le finacementdes partis.

    Il faut reflechir plus gr la separation res pouvoirs.

    Il faut aussi revoir notre modelede decntralisation et je pense poser la. Uestion d’une nouvelle republique federale. On ne peut plus evoluer a l’heure d’internet dans une superstructure centralisee. L’inefficacite de la gouvernance que cela implique est ruineuse.

    Ja souhaite m’associer a des reflexions sur ces sujets. Ou y a-t-il des espaces ou en discuter des forums ???? Faut il aller sur le forum de liberaux.org ?

    Répondre
    • Duff

      10 octobre 2013

      Cher Bruno,

      Sur votre première question : Christian Saint-Etienne se garde bien de donner son avis sur la pérennité de l’euro mais à la différence des européistes béats, il énonce concrètement ce qui permettrait à l’euro de fonctionner. Milite-t-il pour la mise en place de ces mesures, je pense que oui mais il le dit lui même et Charles Gave aussi dans des termes à chaque fois très explicites : Actuellement les pays qui devraient mettre la main à la poche ont des opinions publiques de plus en plus réticentes à cette idée. Il est certain que tant que la France la joue cigale voilà qui ne donne pas envie aux autres de d’associer encore plus charnellement avec nous. Maintenant si nous nous réformons… En 2030, avec des réformes, la France peut devenir la puissance économique #1. C’est pas dans 145 ans c’est dans une grosse quinzaine d’années donc cet avenir dépend des mesures qu’on va prendre dans les prochains mois.

      A titre personnel je ne suis pas très confiant mais j’ai parfaitement en tête que la mort de l’euro si elle doit arriver ne signifie nullement la fin de la construction européenne, ce qui a également bien été dit au cours de l’émission.

      Cdlt

  • Roger Duberger

    10 octobre 2013

    Bravo Monsieur Gave pour cette explication. C’est très clair comme toujours.
    Un petit reproche toutefois : pour l’explication du Pib, vous n’avez pas dit qu’il était vraiment truqué du fait des traitements des fonctionnaires qui sont pris comme de la production. Comme je vous lis, je l’ai bien compris, mais il faut prévenir la société entière, que les chiffres sont manipulés, que notre production industrielle chute etc… Pour la trappe à dettes, et la rentabilité du capital : Très très bien.
    Pour changer de sujet Septembre a été plaisant et Octobre commence bien, le dollar n’est pas trop en forme…
    Bien cordialement

    Répondre
  • Medocain

    10 octobre 2013

    L’AFP et le ministère de la propagande annoncent fièrement aujourd’hui que l’indice de la production industrielle française a cru de 0,2 % en Août 2013
    qui l’eût cru !

    ne les croyez pas , il s’agit de valeurs bidonnées (corrigées des variations saisonnières, sic) les vrais valeurs brutes les voilà:

    Août 2013=72,5
    Août 2012=76,9
    Août 2011=77,4
    http://www.insee.fr/fr/bases-de-donnees/bsweb/serie.asp?idbank=001654235
    Voilà où en est arrivé le PS !!!!

    Répondre
  • vivelafrance

    10 octobre 2013

    excellente synthèse. Merci à Charles Gave et également à Christian Saint Etienne.

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  • Vazimonga

    10 octobre 2013

    Point de convergence : trés bonne critique de la notion de Pib.

    Répondre
  • BA

    10 octobre 2013

    Le FMI vient de donner ses prévisions pour l’année 2014. La situation des pays industrialisés peut se résumer en quatre mots :

    ils sont en faillite.

    1- Japon : dette publique de 242,3 % du PIB.

    2- Grèce : dette publique de 174 % du PIB.

    3- Italie : dette publique de 133,1 % du PIB.

    4- Portugal : dette publique de 125,3 % du PIB.

    5- Irlande : dette publique de 121 % du PIB.

    6- Etats-Unis : 107,3 % du PIB.

    7- Espagne : 99,1 % du PIB.

    8- Royaume-Uni : 95,3 % du PIB.

    9- France : 94,8 % du PIB.

    Le FMI ne parle pas de la Belgique. En mars 2013, la dette publique de la Belgique était de 104,5 % du PIB.

    http://www.imf.org/external/pubs/ft/fm/2013/02/pdf/fm1302.pdf

    Répondre
    • Poutine7

      10 octobre 2013

      Le ratio dette/PIB est déjà très biaisé. On devrait annoncer le ratio déficit/recettes et là l’impasse budgétaire d’Etats vivant au dessus de leurs moyens est encore plus flagrante.

      Ensuite, pour mesurer la gravité de l’endettement regarder quels sont les pays qui ont une capacité d’innovation et le courage de tailler dans les cadeaux inutiles (aux entreprises via les niches et aux particuliers via toutes les assoces bidons, RSA non contrôlés, aux administrations pléthoriques (ex les 10 agences du médicaments de la santé, le Conseil Economique, Environnemental et Social méga-planques pour politicards non élus etc).

    • valmont2044

      10 octobre 2013

      Et on aurait tort d’oublier la Belgique qui est à l’image du sémillant Van Rompuy. Mon pays, décidé dans les années 70 à « faire payer la crise aux riches » (eh oui, déjà)… avait fait tourner à fond la planche à billets, dévaluant sans cesse contre de DEM et le franc suisse. Résultat : une dette de 120% du PIB (si mes souvenirs sont exacts) ramené péniblement durant des années fastes entre 1985 et 2007 à 85%. Ces efforts modestes ont été ruinés depuis 2008, puisque nous voilà revenu à 105%. En attendant mieux. Avec le hors bilan (pensions, sécurité sociale, …) on doit se trouver à près de 300 du PIB. Sans compter les particuliers et les entreprises….
      Au fond, les Allemands seront de facto à Bruxelles et à Paris en 2015, mais sera-ce pire qu’en 1940?
      Les élections européennes de 2014 risquent d’être sanglantes pour les partis au pouvoir.

    • P.M

      10 octobre 2013

      Non ils ne sont pas en faillite ,ils ont déjà préempter nos économies dans les banques
      C est une faillite virtuelle, par contre vous pouvez enlever 15, 20% ou plus de votre patrimoine,de vos économies honnêtement gagnées
      Bonne soirée quand même

    • Jules

      10 octobre 2013

      Ça fait froid dans le dos car vous avez raison, le décret doit être déjà prêt… Je pense que ça va être chaud devant les banques lorsque les crs seront débordés …

  • Homer

    10 octobre 2013

    La « trappe à dettes » fort bien expliquée de longue date par vous, Mr Gave, est en effet en train de conduire à l’inéluctable : la mise en danger toujours accrue de l’épargne qui va fondre comme neige au soleil dès lors que les marchés ne prêteront plus !

    Mais qui peut dire à quand le tsunami ?… à part Dieu, peut-être, et le FMI sûrement : « Après nous, le déluge ! »

    Répondre
  • Duff

    9 octobre 2013

    Excellente émission ce matin! Merci M. Gave, en attente impatiente de votre prochain passage à la fin du mois si j’ai bien compris.

    J’en profite pour signaler que je suis en train de dévorer « des lions menés par des ânes » avec délectation! Lire le livre 10 ans après est très intéressant à plus d’un titre… On a l’impression que les courbes de 1982 à 2002, s’agissant de la France au moins, on peut tirer une droite suivant la tendance pour en arriver à la fin de la décennie suivante…

    On entend beaucoup dire que la France et l’Allemagne étaient au même point au moment d’introduire l’euro, vous montrez qu’il convient d’ajouter que les deux pays en sont au même point c’est à dire n’allant pas bien du tout. Or depuis sa parution, l’Allemagne a fait des réformes, l’agenda 2010… Et la France se retrouve seule mal en point on connaît la suite.

    Répondre

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