1 novembre, 2013

Video de Charles Gave dans « les experts »

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=c0J9EHgFy7U[/youtube]

Auteur: Charles Gave

Economiste et financier, Charles Gave s’est fait connaitre du grand public en publiant un essai pamphlétaire en 2001 “ Des Lions menés par des ânes “(Éditions Robert Laffont) où il dénonçait l’Euro et ses fonctionnements monétaires. Son dernier ouvrage “Sire, surtout ne faites rien” aux Editions Jean-Cyrille Godefroy (2016) rassemble les meilleurs chroniques de l'IDL écrites ces dernières années. Il est fondateur et président de Gavekal Research (www.gavekal.com).

23 Commentaires

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    • idlibertes

      11 novembre 2013

      Et oui, c’est gentil de le dire, C’est aussi mon avis

      Cdlt

      Idl

  • Etienne M

    9 novembre 2013

    Vous etes le seul a ma connaissance a pointer du doigt la liquidation des actifs bancaires en $ comme soutien (temporaire) de l’euro, qui me parait pourtant le principal phénomene a considérer quand on cherche a se diversifier (peut-etre faut-il avoir perdu de l’argent sur la part USD de son portefeuille pour s’y intéresser ?)

    La mise en place de Bale III doit etre progressive, entre 2014 et 2019, pensez-vous que l’euro puisse etre soutenu artificiellement ainsi aussi longtemps ?

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  • riz

    8 novembre 2013

    Bonjour,

    Draghi m’a entendu suite à une déflation en Europe du Sud (hors taxes on est en déflation) , il baisse les taux …. et la France est dégradée …

    Pour le post du dessus je ne serais pas si pessimiste car la France est riche de 12 500 milliards d’euros de patrimoine des ménages et 10% suffiraient à nous remettre ne selle et repartir . Bien évidemment on pourrait retomber sur 9 000 mds du fait d’une crise immo , action oblig pourquoi pas , mais il en resterait sous le pied .Il suffit de baisser les dépenses comme l’ont fait les Grecs et Espagnols et/ou prélever sur l’épargne comme les Chypriotes .Le revenu brut des ménages chute en France du fait d’une baisse des prestations et hausse des taxes .Bien que ne baissant pas , les salaires « baissent » en effet : sur 100 de salaire , je prends 10 à 15 de taxes et baisse de prestation du coup je passe de l’année t = 100 à t+n = 85 c’est une méthode sournoise mais pourtant réelle et en cours pour faire passer la pilule de « baisse des salaires » comme c’est le cas en général en Espagne, salaire qui stagne mais destruction du pouvoir d’achat sous une couche d’impôts et de baisse de prestations sociales et autres . Pour cela on peut faire confiance à la gauche , en poursuivant sur le même rythme pendant 4 ans (après un an de pouvoir on est dans le rythme) on devrait aboutir à quelque chose d’intéressant sur la chute des rdb des ménages .

    Notons que l’Italie inquiète tjs avec + 400 000 chômeurs sur un an glissant , c’est considérable et les défaillances d’E croissent partout en Europe à un rythme supérieur à 2009 .

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  • BA

    8 novembre 2013

    Concrètement, comment vont se dérouler les « saignées » en Europe ?

    1- D’abord, une dizaine de pays européens vont se déclarer en défaut de paiement, les uns après les autres. Les gigantesques bulles obligataires européennes éclateront.

    2- L’éclatement de ces bulles obligataires va provoquer :

    – la disparition des retraites par capitalisation (massivement placées en obligations d’Etat)

    – la disparition de l’assurance-vie (massivement placée en obligations d’Etat)

    – la faillite des banques (massivement détentrices d’obligations d’Etat)

    – la faillite des sociétés d’assurances (massivement détentrices d’obligations d’Etat), etc, etc.

    3- Nous entrerons dans une période de chaos. Les Etats européens seront incapables de sauver de la faillite les banques européennes, contrairement à ce qui s’était passé en septembre 2008. Les Etats européens ne pourront que contempler le spectacle. Ils seront des spectateurs impuissants.

    4- La BCE injectera des centaines de milliards de liquidités, mais ce sera inefficace. Les banques arrêteront de prêter le moindre euro aux particuliers et aux entreprises privées. Les banques essaieront de sauver les meubles en replaçant aussitôt les crédits octroyés par la BCE dans leur compte de réserves auprès de la BCE.

    5- Les épargnants se précipiteront vers les distributeurs automatiques de billets, mais ils ne pourront pas retirer d’argent. Les guichets des banques seront fermés. Les sites internet des banques seront fermés eux-aussi.

    6- Les épargnants se tourneront vers leur Etat. Ils demanderont à leur Etat le remboursement de leur épargne (100 000 euros maximum, en théorie). Mais en pratique, les Etats européens seront incapables de rembourser l’épargne volatilisée des épargnants.

    7- Il y aura un effondrement des Bourses.

    8- Les banques européennes seront en faillite, la BCE sera en faillite. Les rentiers, les actionnaires, les épargnants et les retraités européens auront tout perdu. Ils seront en colère. Les foules en colère chercheront des boucs émissaires. Après le chaos financier, il y aura le chaos social et le chaos politique.

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  • hagen

    7 novembre 2013

    Je reviens avec mon éternelle question: le bilan de la FED explose, quels sont les effets négatifs d’un bilan surdimensionné? Personne ne peux me répondre. Si vous ne savez pas quels sont effets néfastes d’un tel comportement, comment pouvez-vous le juger comme irresponsable?

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  • riz

    6 novembre 2013

    Bonjour,

    la commission européenne prévoit 3.8% de déficit public pour la France en 2014 et 3.7% en 2015. Ce n’est pas à prendre à la légère car dés le printemps 2012 ils avaient anticipé 4.2% de déficit pour 2013 , donc dans les clous à un micron près .Peut-être aura t’on 3.7% et 3.6% respectivement en 2014-2015 , c’est l’ordre d’idée .On ne sera donc probablement pas au niveau des 3% en 2017 mais sûrement pas en 2016 ce qui nous assure l’austérité en 2014, 2015,2016 .C’est donc historique une austérité sur la totalité du mandat présidentiel .Va t’il arriver au terme de son mandat ? Car les taxes vont continuer à pleuvoir (bien que moins sur les E que les ménages), le chômage donc poursuivre sa crue et la colère de la rue monter en neige .Cette hausse des taxes va finir par nous mener en déflation et si cette dernière s’avère sévère alors que les prix croissent déjà de 0.7% l’an les marchés pourraient commencer à paniquer car ils n’aiment pas les excès : ni excès d’inflation , ni excès de déflation .
    On aboutit généralement à une hausse des taux du fait d’une perte de confiance dans l’économie , c’est ce qui s’était passé sous le gouvernement Laval en 1935 , les taux d’î ont fini par monter .
    Les Grecs , Portugais , Espagnols , Irlandais …. connaissent bien une déflation sévère et symétriquement une hausse des taux .
    Les marchés aiment la « normalité » et détestent les extrêmes .
    N’oublions pas que nous entrons en plein papy boom , et que la classe d’âge de la société pourrit par ses 2 extrêmes : les jeunes et les vieux .
    Les premiers subissent le chômage et des salaires moins élevés alors que les seconds tjs plus nombreux à partir en retraites (tout en vivant plus lgts) comptent dessus afin d’abonder leur retraite .La classe centrale (disons 30-55 ans)
    se croyant à l’abri , insouciante , insérée dans le marché du travail et escomptant une retraite généreuse , risque à tord de ne voir rien venir .
    En effet , elle finira par devenir retraitée … payée par ….
    il leur faudrait donc épargner afin de parer les coups durs à venir (décalés dans le temps) ce qui ne manquerait pas non plus d’abaisser le niveau de consommation . En fait tout est interconnecté et le malaise d’un classe d’âge finit par se reporter sur l’autre .Car qui dit déflation , dit baisse des rentrées fiscales et chômage endémique .Au début ces petites piqûres sont anodines … on ne les sent pas , mais en 2017-2018 elles pourraient finir par se transformer en oedèmes fatals.

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  • BA

    6 novembre 2013

    A propos des « saignées » , lisez cet extrait de livre :

    L’Espagne a ainsi dépassé la France, qui avait répudié ses dettes en huit occasions entre 1500 et 1800. Comme les rois de France avaient pris l’habitude, lors des épisodes de défaut sur la dette extérieure, de mettre à mort les grands créanciers nationaux (une forme ancienne et radicale de restructuration de la dette), le peuple avait fini par appeler ces épisodes des « saignées » . L’abbé Terray, contrôleur général des finances du royaume de France de 1768 à 1774, assurait même que « la banqueroute était nécessaire une fois tous les siècles, afin de mettre l’Etat au pair » .

    « Cette fois, c’est différent », Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, édition Pearson, page 108.

    Dans les années qui viennent, les Etats occidentaux vont se déclarer en défaut de paiement, les uns après les autres.

    Ce sera le retour des « saignées » , dont parlent Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff.

    Lors de ces « saignées » , les créanciers ne seront pas décapités, ni brûlés vifs, ni écartelés.

    Lors de ces « saignées » , les détenteurs de dettes souveraines seront ruinés, tout simplement.

    Ce sera une période de chaos. Et les Etats occidentaux nationaliseront leurs banques privées pour un yen symbolique. Ou pour un dollar symbolique. Ou pour un euro symbolique. Ou pour une livre sterling symbolique.

    Dans quels Etats occidentaux vont avoir lieu toutes ces « saignées » ?

    Prévisions du FMI pour l’année 2014 :

    1- Japon : dette publique de 242,3 % du PIB.

    2- Grèce : dette publique de 174 % du PIB.

    3- Italie : dette publique de 133,1 % du PIB. Fin juin 2013, nous en sommes déjà à 133,3 % du PIB.

    4- Portugal : dette publique de 125,3 % du PIB. Fin juin 2013, nous en sommes déjà à 131,3 % du PIB.

    5- Irlande : dette publique de 121 % du PIB. Fin juin 2013, nous en sommes déjà à 125,7 % du PIB.

    6- Etats-Unis : 107,3 % du PIB.

    7- Espagne : 99,1 % du PIB.

    8- Royaume-Uni : 95,3 % du PIB.

    9- France : 94,8 % du PIB.

    Le FMI ne parle pas de la Belgique. Fin juin 2013, la dette publique de la Belgique était de 105 % du PIB.

    http://www.imf.org/external/pubs/ft/fm/2013/02/pdf/fm1302.pdf

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  • Libre

    5 novembre 2013

    La base d’une économie saine est une monnaie saine ce fut la réussite de plan de Jacques Rueff.Mais les augmentations d’impôts et furent une absolue crétinerie!J’ai tout a fait conscience que une monnaie saine ne suffit pas en soi à construire une économie prospère mais c’est la clef de voute…

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    • idlibertes

      6 novembre 2013

      Et non, la croissance est la clé de voute (donc les entrepreneurs). Je ne vais pas re dvp à nouveau ce que dis plus haut.

  • Robert Marchenoir

    3 novembre 2013

    Très concis, très pertinent et très clair. C’est tellement rare à la télévision !

    Répondre
  • MJ

    3 novembre 2013

    Bonjour,

    Pourriez vous un jour nous expliquer en détail ce que vous reprochez à Jacques Rueff?
    En espérant vous voir plus souvent dans les médias

    Répondre
    • idlibertes

      3 novembre 2013

      Cher MJ,

      Rueff, sous l’impulsion de Pinay est à l’origine du rapport de 1957 : dévaluation de 17,5% du franc, instauration du « franc lourd » (1 nouveau franc = 100 anciens francs) défini par rapport à l’or et non au dollar, 300 milliards de francs d’impôts nouveaux, suppression des indexations des prix et des salaires sauf pour le SMIG.

      Ce plan est vendu comme un plan libéral or s’il fut quelque chose, ce fut bien un plan monétariste. Ce fut un plan du franc fort, du bloc-or (et nous avions fut plus tôt quoi en penser), un plan européen, c’est la réduction du déficit public, avec un cercle déflationniste.L’idée sous jacente était bien sur la grande EuropE. « Nous sommes monétaristes car nous sommes européens ». Il faut gagner la confiance des allemands et le couronnement de tout cela fut bien sur Maastricht.

      Ainsi, a triomphé à nouveau la même conception nominaliste de la monnaie, défini par rapport à un étalon de valeur posé comme absolu: l’or dans les années 1930 et sous rueff, le mark.

      Einstein définissait la folie par le fait que l’on reproduise les mêmes erreurs en espérant à chaque fois des résultats différents.

      La moindre des aberrations des choix effectués n’est pas qu’on a dissous la politique dans la politique économique, résumé la politique économique à la monnaie et la monnaie à la parité du franc mark. Quelle que soit l’importance de la monnaie, elle n’est que l’instrument au service de l’économie qui elle même se saurait prétendre résumer l’histoire d’une nation.

      Cdlt

      Idl

  • GdV

    3 novembre 2013

    Sur l’euro,
    je suis bien d’accord avec vous Monsieur Gaves, la France de dispose pas des conditions économiques qui lui permette de vivre avec une monnaie forte. Les rigidités sur le marché du travail en sont l’un des exemples les plus marquants.
    Là où mon opinion diverge est sur traitement de la situation, supprimer l’euro pour revenir aux monnaies nationales, consiste, ni plus ni moins ; à casser le thermomètre pour revenir au couple infernal, inflation-dévaluation.
    Cette option fait le jeu des Etat endettés en organisant de facto un transfert entre l’épargne privé et la dette public extrêmement malsain dans ce pays où l’Etat dévore déjà ses propres enfants.
    Réduire le poids des dettes publiques en détruisant une partie de l’épargne privée n’est certainement pas le moyen de contraindre les états du Sud à se réformer en réduisant leur train de vie et leur système de redistribution clientéliste à une partie de la population.
    Il y a là une contradiction pour ceux qui prône la sortie de l’euro à laquelle il n’est jamais répondu.
    Par ailleurs on oublie bien vite les freins considérables au développement économique que représentait l’instabilité des taux de change du temps de la belle époque où le Franc, la lire et la pesetas dévaluaient régulièrement.
    Pourquoi l’euro, monnaie forte alignée sur le mark, ne finira-t-il pas par provoquer les ajustements indispensables aux pays du Sud ?
    Par ailleurs je ne suis pas certain que ce soit l’euro qui soit responsable du recul du secteur industriel des Etats du Sud, c’est beaucoup plus évidement la mondialisation qui provoque une concurrence à laquelle les politiques sont incapables de répondre par une remise en cause des avantages acquis.
    Toutes vos critiques sur les caractéristiques de notre personnel politique et sur leur accointance avec le secteur public sont parfaitement justifiées mais je ne vois pas en quoi la fin de l’euro signifiera la modification de cet état de chose

    Répondre
    • idlibertes

      3 novembre 2013

      Cher monsieur,

      Au risque de vous surprendre, il n’est certainement pas inutile de méditer aujourd’hui la phrase de Keynes selon laquelle « un pays riche peur avoir une très mauvaise monnaie et un pays pauvre en avoir une très bonne ». Nous gagnerions à étudier plus attentivement l’exemple Anglais qui ont fait , à leurs corps défendant et sous la contrainte, un choix gagnant dans les années 1990. La mondialisation ou les cycles économiques ne sont nullement des fatalités.Vous semblez raisonner à partir de modèles ancestraux de « monnaies fortes » créatrices de croissances. Or la monnaie n’est qu’un instrument.

      Jean_Baptiste Say avait conclu son cours à la chaire d’Economie de France en disant « Et maintenant Messieurs, produisez »
      La France est désormais confrontée au même problème : il lui faut d’urgence retrouver la volonté de produire des richesses et des emplois au lieu de chercher un improbable salut dans une soit disant union de tous salvatrice.

      Cdlt

      Idl

  • David Jeames

    3 novembre 2013

    M. Gave, j’ai bien peur que, malgré vos analyses très justes (économique, politique et sociétale), il n’y ai plus en France assez d’hommes d’honneur pour empêcher ce système d’aller dans le mur du totalitarisme.

    Répondre
  • BA

    2 novembre 2013

    Le scandale de l’année 2013 : le nouveau siège de la BCE.

    Selon l’ancien président de la BCE, Jean-Claude Trichet, ce nouveau bâtiment devait coûter aux contribuables 500 millions d’euros.

    En réalité, les contribuables devront payer … 1,15 milliard d’euros.

    C’est une confirmation : les dirigeants de la BCE sont des incapables et des incompétents.

    Mais ça, on le savait depuis dix ans déjà.

    Lisez cet article :

    Les coûts de construction du nouveau siège de la BCE explosent : de 500 millions d’euros à 1,15 milliard d’euros.

    Le 19 mai 2010, Jean-Claude Trichet, qui présidait alors la Banque Centrale Européenne (BCE), avait organisé une cérémonie à Francfort pour célébrer la pose de la première pierre de l’immeuble de 45 étages qui allait devenir le futur siège de la BCE. « Nous devons nous assurer que les coûts de construction ne dépassent pas le budget estimé », avait-il alors déclaré.

    Mais Der Spiegel rapporte que 3 ans ½ plus tard, les coûts de ce projet ont explosé, passant d’une estimation de 500 millions euros à 1,15 milliard, voire même jusqu’à 1,3 milliard d’euros.

    Chaque espace de travail aura coûté environ 600.000 euros, soit l’équivalent d’une maison familiale très confortable, alors qu’en matière d’immobilier professionnel, à partir de 30.000 euros par bureau, on parle de haut de gamme.

    Le site de la BCE propose des photos et une visite guidée virtuelle de l’immeuble visibles ici :

    http://www.express.be/business/fr/economy/les-couts-de-construction-du-nouveau-siege-de-la-bce-explosent-de-500-millions-deuros-a-115-milliard-deuros/197926.htm

    Répondre
  • Bois Anne Marie

    1 novembre 2013

    Grand merci à vous M. Gave pour votre clarté;c’est à chaque fois , un grand plaisir de vous entendre même si la réalité française est pitoyable et de plus en plus dure pour les classes populaires sans compter notre armée et nos forces de police désargentées.

    Répondre
  • Duff

    1 novembre 2013

    Très bien le jingle « institut des libertés » au début de la vidéo, très très bien la volonté de M. Gave de venir plus souvent dans les médias, du moins ceux qui voudront bien lui tendre leurs micros.

    Il y a beaucoup à faire et à dire dans un pays qui se noie sous « l’ultra-libéralisme » dominant à entendre ses élites alors que le poids de l’état approche les 60% du PIB et que jamais les impôts, taxes et règlements n’ont été aussi punitifs.

    La France est capable de bien mieux que de suivre le funeste destin des sociétés malades de leur collectivisme. Merci.

    Répondre
    • Bois Anne Marie

      1 novembre 2013

      Merci ,je vous suis :notre cher pays est paralysépar le collectivisme dé fendu par les oints du seigneur qui eux, tempête contre l’ultralibéralisme qui sévirait!!

  • Amellal Ibrahim

    1 novembre 2013

    Ok, merci.

    Vous avez aussi dit dans « Les Experts » qu’il allait falloir s’impliquer plus dans le débat public, est-ce que cela veut dire passer plus souvent à la TV ?

    Répondre
  • Amellal Ibrahim

    1 novembre 2013

    Bonjour,

    Merci d’abord, pour tout ce travail, avez-vous le titre de l’émission dans lequel est passe Charles Gave chez France Info ?

    Merci

    Répondre
    • Charles Gave

      1 novembre 2013

      Cher Amellal
      J’ai ete interviewe (une minute et demie) par « La cote Bleue » une emission de France Inter qui passe en general apres les nouvelles dans France Info
      Ils m’ont dit que cela devrait passer dans les jours qui viennent, mais qu’ils ne savaient pas quand, cela dependant de l’actualite
      Ils vont essayer de me prevenir, m’ont ils dit…
      Amicalement
      cg

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