29 juillet, 2015

Liste de lecture politique: Ruptures, Frictions, Fractures et Évolutions

Régulièrement, Jean Jacques Netter, Vice Président de l’Institut des Libertés, publie les notes de son cahier concernant les ruptures économiques, les frictions géopolitiques, les fractures idéologiques et les évolutions technologiques de notre société. Cela peut permettre, essentiellement à partir de livres qui ne s’inscrivent pas forcément dans le court terme ou le politiquement correct, de regarder la réalité telle qu’elle est aujourd’hui ou de faire apparaître de nouveaux angles d’évolution…

Elites : Raphaël Bacqué dans son livre « Richie » peint très bien le clair obscur dans lequel vivent nos élites. Richard Descoings, patron de Sciences Po était adepte des pantalons en cuir, des lignes de cocaïne qui se mêlaient au champagne. Il dansait la nuit comme Fredy Mercury. La discrimination positive ouvrait les portes de la rue Saint Guillaume à la banlieue, l’argent coulait à flot, les élèves l’adoraient. Tout cela pour se terminer par une mort mystérieuse le 3 avril 2012 dans un hôtel de New York….

Sociologues joueurs de bonneteau : ils font passer pour du réel ce qui n’est que de l’idéologie, pour du concret ce qui n’est que du langage, pour scientifique ce qui n’a que l’apparence de la science. Michel Wievorka, dans son dernier livre « Retour au sens » plaide pour l’universalisme, mais il a participé aux côtés de Martine Aubry, avec d’autres à la destruction de l’universalisme fondé sur l’assimilation républicaine. Il a déconstruit cet enracinement pour le jeter aux chiens. C’est à cause de sociologues comme lui que notre espace public est en morceaux et notre paix civile menacée…

Conformisme moralisateur : Philippe Val, ancien directeur de Charlie Hebdo et de France Inter est en colère. Dans son dernier livre « Malaise dans l’inculture », il part en guerre contre le « sociologisme ». Pour lui, la quasi totalité des intellectuels et des journalistes expliquent tout par le déterminisme social. Il n’y a plus de place pour la responsabilité individuelle. On est dans le déni de réalité qui débouche sur un totalitarisme de la pensée …

Social libéralisme : voilà l’ennemi pour Guillaume Sarlat auteur du livre « En finir avec le libéralisme à la française ». L’auteur est polytechnicien, énarque, spécialiste de M& A. La France est selon lui enlisée dans le libéralisme. Gauche et droite se flattent d’être à la fois libérales et sociales alors que nos énarques s’enrichissent en devenant des vedettes du CAC 40, nos cadres ont les 35 heures et nos pauvres ont le smic et le RSA…

Valeurs de la République : La réforme des collèges a opposé ceux qui dénoncent « un nivellement par le bas » et ceux qui défendent « l’égalitarisme ». Pour Bertrand Vergely, dans son livre « La tentation de l’Homme-Dieu », annoncer la réussite pour tous est un véritable mensonge. La République est en train de tourner le dos à ses véritables valeurs, car en désignant la réussite comme injuste et anti démocratique, elle monte ceux qui ne réussissent pas contre ceux qui réussissent réellement…

Immigration : Patrick Weil est l’ancien chef de cabinet du secrétariat aux immigrants en 1981. Son programme est malheureusement tout à fait clair. Dans son livre «  Le sens de la république » il explique qu’il faut que l’enseignement de l’histoire soit adapté aux nouvelles populations immigrées pour faire « histoire commune ». Pour lui » les auteurs d’attentats sont des perdants radicaux dont la religion n’est pas la cause initiale, mais le catalyseur d’une tension et d’une frustration latente ». Enfin, tous ceux qui crient mort aux juifs et les tuent sont en manque « de respect, de dialogue et de compréhension »…

Gauche : la gauche française vit une crise fondamentale. Née de la rencontre entre le progrès et la justice sociale, la seule valeur qui reste à la gauche c’est l’égalité. Auteur du livre « La gauche et le peuple » Jacques Julliard explique que faute de faire une révolution sociale, le Parti Socialiste fait en ce moment une révolution sociétale. Le PS ne représente plus que la bourgeoisie bobo ainsi que toutes les victimes passées ou présentes du racisme et du colonialisme. Curieusement les intellectuels se rapprochent du peuple réel à mesure que le PS s’en éloigne…

La Foi dans le développement : le Père Gaël Giraud, théologien Jésuite, vient d’être nommé chef économiste de l’Agence Française de Développement. Auteur du livre « Vingt propositions pour réformer le capitalisme », il rêve d’une économie qui ferait la part belle aux sciences sociales et aux sciences dures. Pour lui, l’aide au développement n’est pas « un sous sujet pour le week end ». Tout comme François Hollande qu’il avait soutenu, il est lui aussi « l’ennemi de la finance ». A la Conférence de Carême du 11/03/2012 à Notre Dame de Paris, il avait dit qu’il fallait renoncer à la finianciarisation idôlatre que Saint François d’Assise désignait par « le crottin du diable ». Il souhaitait que les marchés et les banquiers lâchent le Veau d’Or et que l’épargne ne soit pas captée par le Casino international de la finance…

 

Auteur: Jean-Jacques Netter

Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de le bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’ absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.

20 Commentaires

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  • BA

    12 août 2015

    A propos de la faillite de la Grèce en 2009 :

    Le 6 octobre 2009, Georgios Papandréou devient Premier ministre.
    Onze jours après son arrivée au pouvoir, il annonce, dans un souci de transparence, que l’état réel des finances grecques avait été caché par le précédent gouvernement. Il fait rétablir les véritables données économiques, dont un déficit équivalent à 12,5 % du PIB pour la seule année 2009. La Commission européenne confirmera cette falsification des données quelques semaines plus tard.

    Le 17 octobre 2009, tout le monde comprend que la Grèce est en faillite : la dette publique de la Grèce est de 299,69 milliards d’euros, soit 129,7 % du PIB. Mais les autres dirigeants européens, la BCE et le FMI ne veulent pas que la Grèce quitte la zone euro.

    Les autres dirigeants européens, la BCE et le FMI décident de tout faire, et même de faire n’importe quoi, pour garder la Grèce dans la zone euro.

    En 2009, au lieu de laisser la Grèce faire un défaut total sur sa dette, sortir de l’euro, revenir à la drachme, dévaluer, etc, ils décident de sacrifier le peuple grec et de garder la Grèce dans la zone euro.

    Six ans plus tard, le résultat est le suivant :

    Le peuple grec a été sacrifié.

    La Grèce est en faillite.

    Les banques grecques sont en faillite.

    L’Allemagne a réalisé 100 milliards d’euros d’économies grâce à la crise grecque. C’est ça, le plus important.

    Pour que l’Allemagne continue à s’enrichir, il faut que la Grèce continue à s’appauvrir.

    La construction européenne, c’est des nations du sud qui doivent continuer à s’appauvrir, pour que les nations du nord continuent à s’enrichir.

    La construction européenne, c’est un boulevard pour les fureurs nationalistes, pour les colères populaires, pour les partis extrémistes, puis, au bout du boulevard, …

    … la guerre.

    L’Allemagne, qui a adopté une ligne dure vis-à-vis d’Athènes, a fortement profité de la crise économique et financière en Grèce, révèle un institut d’études économiques allemand aujourd’hui.

    Selon des calculs de l’Institut Leibnitz de recherche économique (IWH), l’Allemagne a pu réaliser des économies budgétaires de quelque 100 milliards d’euros depuis le début de la crise grecque en 2010, soit plus de 3% du Produit intérieur brut (PIB).

    « Ces économies dépassent le coût engendré par la crise, et ce même si la Grèce ne remboursait pas entièrement sa dette », écrivent les économistes.

    « L’Allemagne a donc dans tous les cas profité de la crise en Grèce », poursuivent-ils.

    Les experts ont effectué des simulations en partant du constat que les investisseurs confrontés à une crise économique effectuent le plus possible des placements sûrs. « Durant la crise européenne de la dette, l’Allemagne a profité de cet effet de manière disproportionnée », selon eux.

    Ils ont également cherché à évaluer quelle aurait été une politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) neutre pour l’Allemagne durant cette période.

    « On en vient à des taux simulés sur les emprunts d’Etat allemands qui, en moyenne entre 2010 et aujourd’hui, sont 3% plus élevés à ce qu’ils ont été dans la réalité », selon eux, ce qui revient à des économies budgétaires globales d’au moins 100 milliards d’euros sur les quatre dernières années et demi ».

    L’Allemagne a également raflé d’importants contrats lors des privatisations menées tambour battant par Athènes depuis 2011 en échange de l’aide financière des Européens notamment. La société Fraport, associée à un entrepreneur grec, a notamment décroché le contrat de rachat de 14 aéroports régionaux grecs, dont certains très touristiques comme Corfou, pour environ un milliard d’euros.

    Répondre
    • nolife

      12 août 2015

      Les taux d’intérêts suivent les taux de croissance et d’inflation, l’Allemagne comme la France et bien d’autres pays ont bénéficié d’une baisse des taux …

      « L’Allemagne a également raflé d’importants contrats … »

      et qu’elle a aussi PAYES

  • drazig

    31 juillet 2015

    Pourriez vous me traduire vos textes?

    Répondre
    • idlibertes

      1 août 2015

      ???

  • Josick Croyal

    30 juillet 2015

    Mieux vaut resté couché que venir commenter… Commentaire mis en attente de modération… alors que je suis pourtant utilisateur enregistré, commentaire qui m’avait pourtant demandé un sacré effort ! L’individu ne passera pas !

    Répondre
    • idlibertes

      1 août 2015

      C’est bon josik.
      Juste les liens qui bloquent ou j’imagine l’emploi de certains termes.

  • Josick Croyal

    30 juillet 2015

    Je re-poste (seconde fois, en enlevant les liens cette fois-ci) ce qui a été mis en attente de modération bien que j’ai écris en tant que personne enregistrée (toute l’intelligence des développeurs est là) :
    29 July 2015 at 14 h 20 min
    “Philippe Val :Pour lui, la quasi totalité des intellectuels et des journalistes expliquent tout par le déterminisme social. Il n’y a plus de place pour la responsabilité individuelle “…
    C’est ainsi qu’on s’étonne pourquoi deux intellectuels Jean Gosset et Jean Cavaillès ont pris les armes -lien supprimé… perdez votre temps à chercher-

    Ayant fréquenté longuement et de façon très proche un ancien Pdg d’IBM-France (alors entreprise certaines années1ère contribuable française), celui-ci estimait qu’il n’y avait plus de place pour l’individu, que les découvertes individuelles relevaient du passé, que maintenant, seul le travail d’équipe comptait.
    Autant dire que mon approche est complétement “has been” et n’a absolument aucune chance de percer. Celle-ci a deux aspects. Elle est relative au clavier de 104 touches et à ce qu’on peut entendre par le mot diEU, mot que je comprend comme issue d’une autre conception atomique, mot relatif aux électres E, U et EU (deux fois EU, une fois ensemble -EU- et une fois séparé -E & U- soit, à la lettre, diEU), lumières de l’esprit.
    Lorsque l’on fait, comme Jacques Netter (post précédent), état du retour du religieux, je me demande bien ce que l’on peut comprendre… Pour moi, un peu bête et simplet, le religare (ce qui relie) renvoie au joug et donc à ce dieu Jupiter (jug-pater) qu’on dit le “père du joug”.
    Je comprend alors que ce diEU, que cette lumière électrale harmoniserait deux par deux ce qui naturellement ne vas pas ensemble (ainsi le mariage homme-femme) et que c’est ainsi que se construisait qualitativement et donc durablement le monde.
    Le joug, on refuse désormais de l’intégrer bien qu’on l’a quotidiennement illustré sous les yeux à travers la barre d’espacement de nos claviers informatiques. En effet, le joug, c’est ce qui empêche de trop s’écarter mais aussi empêche de trop fusionner et donc permet un espace, espace de liberté intérieure.
    La multitude des touches d’un clavier standard fait écho à la multitude des éléments du tableau périodique de la classification de Mendéléiev. On ne peut désormais écrire que grâce à ce travail d’équipe.
    Autrefois, avec la plume, on ne mettait en jeu que trois doigts, doigts faisant alors écho à ces électres, désir d’un écrit lumineux.
    Ecrire avec trois doigts sur seulement trois touches informatiquement connectées, c’est le challenge apparemment sans importance que je suis en passe de réaliser.
    Avec la découverte de 3 nouvelles planètes (Uranus, Neptune et Pluton -cette dernière a été depuis rétrogradée-) au siècle dernier, l’on a pensé réécrire l’histoire. Ainsi, comme en écho, la trilogie NPK pour l’agriculture et la politique énergétique atomique (Uranium, Plutonium…) de la France des 30 glorieuses. Feu de paille d’un monde qui croyait avoir compris mais n’aurait en fait absolument rien compris à l’essence de la vie.
    Né deux jours avant le traité de Rome dans une ferme bretonne gallo sans eau courante ni électricité du réseau, j’aimerai concrétiser en faisant dans ce qui pourrait faire écho à l’électro-culture, l’électro étant alors relatif à l’électral de ma conception théorique.
    Si j’ai compris à la lettre le mot diEU (ce qui m’a pris des décennies), me reste à comprendre AGRO / ORGA… Mais on est dans un monde où l’individu est passé à la trappe, ou tout seras mis en oeuvre pour le rayer de la carte -lien supprimé-.
    Réussir serait un sacré coup de pied dans cette fourmilière d’étatiste en tout genre. Espérons que l’un d’entre nous réussiras ce coup là.
    PS. : Ce ne seras pas moi car je n’arrive pas même à poster ce commentaire….

    Répondre
  • Josick Croyal

    29 juillet 2015

    Le Père Gaël Giraud, théologien Jésuite, encore un qui, comme le pape actuel marxisant, est à côté de ses pompes… Si cela ne se développe pas, c’est que la mentalité n’est pas propice au développement, que les réflexes économiques sont manquant… Et donc qu’investir dans de telles populations équivaut à jeter son argent par les fenêtres.

    Répondre
  • Josick Croyal

    29 juillet 2015

    « Philippe Val :Pour lui, la quasi totalité des intellectuels et des journalistes expliquent tout par le déterminisme social. Il n’y a plus de place pour la responsabilité individuelle « …

    C’est ainsi qu’on s’étonne pourquoi deux intellectuels Jean Gosset et Jean Cavaillès ont pris les armes
    http://socio.ens-lyon.fr/conf/conf_2006_04_federini.php

    Ayant fréquenté longuement et de façon très proche un ancien Pdg d’IBM-France (alors entreprise certaines années1ère contribuable française), celui-ci estimait qu’il n’y avait plus de place pour l’individu, que les découvertes individuelles relevaient du passé, que maintenant, seul le travail d’équipe comptait.

    Autant dire que mon approche est complétement « has been » et n’a absolument aucune chance de percer. Celle-ci a deux aspects. Elle est relative au clavier de 104 touches et à ce qu’on peut entendre par le mot diEU, mot que je comprend comme issue d’une autre conception atomique, mot relatif aux électres E, U et EU (deux fois EU, une fois ensemble -EU- et une fois séparé -E & U- soit, à la lettre, diEU), lumières de l’esprit.

    Lorsque l’on fait, comme Jacques Netter (post précédent), état du retour du religieux, je me demande bien ce que l’on peut comprendre… Pour moi, un peu bête et simplet, le religare (ce qui relie) renvoie au joug et donc à ce dieu Jupiter (jug-pater) qu’on dit le « père du joug ».

    Je comprend alors que ce diEU, que cette lumière électrale harmoniserait deux par deux ce qui naturellement ne vas pas ensemble (ainsi le mariage homme-femme) et que c’est ainsi que se construisait qualitativement et donc durablement le monde.

    Le joug, on refuse désormais de l’intégrer bien qu’on l’a quotidiennement illustré sous les yeux à travers la barre d’espacement de nos claviers informatiques. En effet, le joug, c’est ce qui empêche de trop s’écarter mais aussi empêche de trop fusionner et donc permet un espace, espace de liberté intérieure.
    La multitude des touches d’un clavier standard fait écho à la multitude des éléments du tableau périodique de la classification de Mendéléiev. On ne peut désormais écrire que grâce à ce travail d’équipe.
    Autrefois, avec la plume, on ne mettait en jeu que trois doigts, doigts faisant alors écho à ces électres, désir d’un écrit lumineux.
    Ecrire avec trois doigts sur seulement trois touches informatiquement connectées, c’est le challenge apparemment sans importance que je suis en passe de réaliser.

    Avec la découverte de 3 nouvelles planètes (Uranus, Neptune et Pluton -cette dernière a été depuis rétrogradée-) au siècle dernier, l’on a pensé réécrire l’histoire. Ainsi, comme en écho, la trilogie NPK pour l’agriculture et la politique énergétique atomique (Uranium, Plutonium…) de la France des 30 glorieuses. Feu de paille d’un monde qui croyait avoir compris mais n’aurait en fait absolument rien compris à l’essence de la vie.

    Né deux jours avant le traité de Rome dans une ferme bretonne gallo sans eau courante ni électricité du réseau, j’aimerai concrétiser en faisant dans ce qui pourrait faire écho à l’électro-culture, l’électro étant alors relatif à l’électral de ma conception théorique.

    Si j’ai compris à la lettre le mot diEU (ce qui m’a pris des décennies), me reste à comprendre AGRO / ORGA… Mais on est dans un monde où l’individu est passé à la trappe, ou tout seras mis en oeuvre pour le rayer de la carte http://josickc.blogspot.fr/2015/07/le-feminisme-est-une-escroquerie.html

    Réussir serait un sacré coup de pied dans cette fourmilière d’étatiste en tout genre. Espérons que l’un d’entre nous réussiras ce coup là.

    Répondre
    • Homo-Orcus

      29 juillet 2015

      C’est vrai que BA les recycle en PQ ? le Kakapital de Pipiketty

  • nolife

    29 juillet 2015

    C’est les livres à lire ou à ne pas lire ?

    Répondre
    • Josick Croyal

      29 juillet 2015

      Une belle palette de connard semble-t-il !

    • Lio

      29 juillet 2015

      A ne pas lire, en ce qui me concerne. Surtout celui de Guillaume Sarlat, sauf à avoir du temps à perdre!

    • nolife

      29 juillet 2015

      Merci de briser ma sollitude …

    • nolife

      29 juillet 2015

      Par contre ce que je ne comprends pas, c’est que tous ces gens … ont été diplômés de grandes écoles, polytechnique, ENS … comment se fait-il qu’ils peuvent croire des trucs pareils ?

      J’avoue ne pas comprendre …

      Si vous aviez un bouquin ou texte sous la main pour éclairer ma lanterne, je vous en serais reconnaissant.

    • Josick Croyal

      29 juillet 2015

      Ce sont foncièrement des collectivistes… Aucun éclairage par une lumière intérieure (mon commentaire à ce sujet est en attente de modération) !

    • Josick Croyal

      29 juillet 2015

      Cet absence de lumière a été stimatisé par un chercheur solitaire mis en fosse commune en 1958 à Cannes : « Et, comme toujours, en ses voies et moyens détournés, impénétrables et imprévisibles, le Destin est ironique : ce qu’il y a de plaisant dans cette révélation, c’est que le point de départ en commence par le symbole de votre profession odontologique, toute l’oeuvre débute par l’anecdote du fameux « davier de plomb », molubdinon odontogôgon, plumbeum denti-ducum, premier objet sacré qui était présenté au Temple de Delphes à la vénération publique, clef étymologique de ‘O-dous*, O-dóntos, Tolien (Hippocrate) E-doús, E-dóntos, dont les inexplicables voyelles prothétiques O et E ont disparu des autres langues congénères ou empruntées ;latin desn, dentis, sanscrit : dantà s, lithuanien danti-s, cyriaque : dant, anglais : tooth, allemand : zahn – instrument symbolique et parlant, révélateur, auquel n’avait rien compris, sans l’éveil d’un soupçon, le cerveau de borne sans étincelle d’intelligence, le médecin grec laïc Trasistrate, comme le rapporte Coelius Aurelianus, autre docteur laïc, dignes ancêtres des « savants » d’école primaire, matérialistes et rationalistes « modernes » de notre âge quaternaire de Fer, de Feu, de larmes et de sang, âge d’ignorance, de vain orgueil, de misère et de mort ». »

    • idlibertes

      1 août 2015

      L’international ? 🙂

    • idlibertes

      1 août 2015

      A lire pour dire du mal des gens, thérése.

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